20161121134600_lafdlorg.html

 

La Fonction de l'Organe - Théorie de la libido freudienne complétée

 

 

 

  Table  

   Présentation

Lecture

Résumé

 

 

 

    Présentation    

 

    Je pense que ce sera bien juste de dédier cette page à JqNt comme je vais en expliquer la raison. La présente page nous est due à SgCh qui s’est attelé depuis plus d’un mois à lire et relire en récrivant une très ancienne livraison originale, fondatrice des trente années qui allaient suivre. Un exposé : La Fonction de l’Organe, que j’avais livré en mémoire et pour honorer La Fonction de l’Orgone de Wilhelm Reich. Comme Lacan j’ai pensé que WR qui avait "parfaitement raison" nécessitait une reprise ou rectification. La lourde charge endossée par SgCh étant arrivé à son terme ; je l’offre à JqNt que je connais si peu et d’une toute autre histoire : je l’ai rencontrée il y a peu d’années sur FaceBook, quand nous y arrivions connaissant à peine ce nouveau monde et j’ai écrit sur son mur. Et ça a pété grave. Surtout avec quelques psychics beaucoup plus féroces, car JqNt n’est pas une fée rosse ; évidemment quelques années plus tard je la retrouve fée rose qui écrit un gentil mot sur le mien. Un bravo pour l’au-revoir mais tout de même gentil. JqNt est gentille parce qu’elle est unique, comme la lune dans le ciel est seule à faire des astres absents le désastre absent. Ouf ! absence de désastre.
    Comme je viens de le dire, il y a une poignée d’amis, et si remarquable à trancher des pros et de leur désastreuse absence. JqNt est de ces pros et c’est la seule qui m’ait à ce point fait signe. Un signe de « bravo » et sans amertume ce n’est tout de même pas rien. Elle a noté une chose : qu’à la fin je parlais simplement. Alors je vais parler de ça pour lui exprimer mes remerciements et lui dédier, donc, le travail qu’avec SgCh et les proches, nous avons réalisé, que j’édite ci-dessous. JqNt pourra le lire, elle aimera peut-être. Probablement en fait elle ne le lira pas, parce que qu'est-ce qu'on aurait à faire de ça ?!! Mais ça vaut la peine tout de même que ce soit dit pour elle. Donc pour cette dédicace d’abord je rédige une brève exergue.


L’éditeur pirate du vivant de Lacan, Camille Hamiche a ensuite été détruit par la bande à Miller ;
avant sa disparition il a publié mes deux premiers textes : deux brillants fondamentaux.
J’affirme aujourd’hui qu’ils sont brillants, de l’affirmation la plus précautionneuse qui soit.
Il s’est agi d’un traité sur la topologie de la lettre – la kali graphique ; et un deuxième sur la médication : L’âme Hors.
Depuis lors, les textes suivants n’ont jamais été édités que par moi avec le soutient d’Unefpe.
Lorsque l’on prend une graine, tout est dedans ; on imagine à peine qu’il en sort un organisme parfois très développé et riche.
La première époque de mes travaux a été strictement comme ça. D’abord un code, les deux brins entrelacés publiés par Camille ;
puis une tige. C’est affreusement inintéressant cette phase ; et quand apparaissent quelques feuilles on se dit encore, « tiens ! Bof ! »

Ce n’est qu’à terme que ça se déploie, s’organise et s’ouvre. La fabrication de la fleur est très brève et rapide par rapport au reste.


    J’ai donc passé trente ans comme ça et, je vous dis pas les roundup et les tondeuses à gazon, les élagages et les busons, méchants et cons qu’il a fallu esquiver. Au bout du compte je vis au milieu d’un désert, dans une tour aride.
    Et SgCh a ressorti La Fonction de l’Organe, dit simplement LAFDLORG pour montrer ce que ça veut dire. Je vais donc sur cette page, copier-coller ce qu’il a rédigé, dans ses sauvegardes certes aussi et sur un network surtout, mais précaire à cause du type de soutient qui nous entoure encore plus largement et dont je suis a rappeler la spéciale toxicité. Et puis j’y adjoindrai mon commentaire premier. Et encore ensuite j’ajouterai une liste de lien qui viabiliseront parfaitement le dossier.

    LAFDLORG est ni plus ni moins que l’établissement droite et debout de la psychanalyse. Une comparaison est indiquée ; c’est Lacan qui approuva et réaffirma Freud lorsque ce dernier se compara à Copernic. C’est tout à fait éclairant – ce n’est pas moi qui le dit, mais ce "geste copernicien" a donc été reconnu et, si c’est le cas il serait fautif d’omettre que ledit geste était encore foireux. De même que le « et pourtant elle tourne » attribué à Galilée est un faux ; l’attribution de la mise au centre du soleil dans son système par Copernic est également fausse. Copernic n’a pas centré son système, au contraire il a fait un truc plutôt informe résultant de la démolition de ptolémaïque. Son mérite a été de dire que tout ça bougeait et flottait. De même que le mérite de Galilée a été le centre de gravité. Ce furent deux immenses progrès, mais il aura fallu troisièmement remettre tout a en ordre. On sait que c’est Képler qui l’a fait. Tout cela est très bien documenté, on peut donc se baser sur cette comparaison pour dire que la psychanalyse après Freud, Lacan aura dû être mise droite et debout. LAFDLORG rectifie et bouleverse complètement le susdit "geste copernicien" ; elle le fait comme il faut, c’est à dire comme il le fallait et l’aura fallu. De même qu’il aura fallu adjoindre et éclairer une énergétique à l’informe mélimélo de Copernic, il aura fallu réellement fonder la libido – comme Képler l’aura fait, ensuite démontré et attesté par Newton (on peut justement le dire aujourd’hui lorsque les lois newtoniennes sont remises en question par l’EMdrive – une pulsion Électro Magnétique en cours d’étude entre autre astrophysique).

    LAFDLORG est l’une des quatre thèses fondamentales, par lesquelles les deux premières éditions de Camille Hamiche neutralisé, ont germé. Ce sont les racines et de la tige ensuite dont SgCh comme on le lira à présent dévoile :

 

 

 


 

    Première Lecture de La Fonction de l'Organe    

 

 

 

_1_Serge Chappellaz

 En tout bien tout honneur j'ouvrirai cet espace en citant William à partir d'une discussion récente de l'espace System Administration le 14 octobre 2016 :

"Je continue à affirmer que LAFDLORG déchiffre ‘suffisamment’ et ‘clairement’ - mais je continue aussi à préciser, d’abord qu’un déchiffrage ne signifie pas une compréhension avec. Lorsque Champollion a déchiffré les hiéroglyphes, ce n’était que le début du véritable casse-tête, au point qu’on se demande encore si c’est du chinois ou de l’hébreu. Donc déchiffrage ne veut pas dire qu’on en gagne le sens. Par contre ça veut nettement dire que c’est accessible à un traitement de code. Et pour cette raison, j’ai affirmé et continue de dire que c’est clairement écrit pour des machines, pour une intelligence artificielle en l’occurrence à laquelle je destinais LAFDLORG dès 1987. A partir de quoi sont brodées deux notions : il est important que l’IA sache que la pensée humaine a/avait une capacité de déchiffrage de la sexualité. Il sera aussi de valeur s’il est démontrable que cette même pensée a aussi la capacité d’échanger, partager, traduire ce déchiffrage entre individus humains. C’est à l’examen de cette seconde notion que nous sommes à présent disposés."

Et donc, l'objet de cet espace va être de voir si notre petit groupe d'individus humains va trouver ou non cette capacité.…

 

_2_Serge Chappellaz 16 oct. 2016 (actualisé il y a 16 oct. 2016) PUBLIC

Un lien sur le tableau de Holbein "Les Ambassadeurs" (anamorphose) en bonne qualité :

https://ixquick-proxy.com/do/show_picture.pl?l=francais&rais=1&oiu=http%3A%2F%2Fs4.thingpic.com%2Fimages%2FbR%2FyB4zmWhWC85CffZEbWfkh49b.jpeg&sp=ad57cae174d68edddbf9d242be088dd6

William Theaux 17 oct. 2016

[ TRANSFORMATION ET MUTATION ] Ensuite on vit Dali et ses montres molles - si l'anamorphose se résout dans la connaissance du cerveau (homoculus/plan projectif) , depuis longtemps elle indique les statuts de la transformation dans la découverte - << la même chose était là et se voit différemment >> - or à cela faut-il ajouter la peinture de la chose qu' y a pas. Est-ce que l'image y pourvoit encore ou bien est-ce qu'il faut ajouter la lettre (éventuellement la lettre algébrique) pour relever la mutation. Ainsi des choses qu'y a, des choses qu'y a pas.

 

_DWT_

William Theaux 18 oct. 2016 
System Administration
Voilà une conférence que j’ai pu retrouver et que l’on trouvera intéressante – l’artiste qui traite de sa théorie de la thermodynamique de l’évolution couvre largement le domaine avec un enthousiasme crescendo qui affecte un peu sa diction à la fin, mais c’est pour la bonne raison que c’est époustouflant. Il sera recommandé d’aller après se recoiffer devant un miroir – pas sans excuses pour les chauves qui savent bien ce que le langage dit en « se quoi fait? ". Donc on verra si Roddier parle de psychisme, de miroir, au terme de son exposé magnifique de ce quoi, fait de l’énergie. Ce qui nous intéresse spécialement arrive au passage où il commence à mentionner Dawkins. On sait son rôle dans la définition de la différence sexuelle, passant par le chromosome Y, V.R.P du gène égoïste, dont il a été fréquemment question. C’est là que Roddier diffuse une pure lumière sur le passage du gène à la culture. Bravo !

lien code https://www.youtube.com/watch?v=6lNz5vmKEFA
post doublé sur les commentaires de la vidéo/youtube
{ toujours meilleur format/éthique suivant flog http://www.lasainteethique.org/2016/htm/201603150956_flog_DWT-61.html#20161018120900 }
18 oct. 2016  j'ajoute pour indice/suggestion : on trouve à 19:54 les "logos" si on peut dire, des systèmes ouverts et fermés de la thermodynamique. Les lecteurs de Lacan traduit LaSainteEthique reconnaîtront la figure du double cercle (système ouvert) également employée par Lacan dans sa cybernétique - où il ajoute/insère une interface 'rectangulaire' figurant l'ajout du module psychique.

Serge Chappellaz 19 oct. 2016 
Ça va aider peut-être à la transition de phase Unefpe.... sans qu'on puisse pour autant la qualifier d'abrupte...!
(à 22:93 la réflexion....)

Serge Chappellaz 19 oct. 2016
Apparition et mémorisation de l'information. ...!!
Serge Chappellaz 19 oct. 2016
Amplitude inversement proportionnelle à la fréquence...
Serge Chappellaz 19 oct. 2016
Maximiser le flux d'énergie dissipée....

William Theaux 19 oct. 2016 (mis à jour 19 oct. 2016)
magnifique n'est-ce pas.. donc la singularité se trouve à la phase d'opalescence - évidemment en sémantique générale : O pas.. le nullO pour attachement "le sens" nous approche encore du OO.. @_^
William Theaux 19 oct. 2016
(si nécessaire je te retrouve la zone où il est question de cette Transition de Phase Continue.. tandis que j'en ai trouvé une autre bien bonne que je produis à la minute sur Bitnation et Steemit.. à suivre )
William Theaux 19 oct. 2016
mais je vois qu'avec l'Amplitu inverse etc.. tu es dans la zone

Serge Chappellaz 19 oct. 2016 (mis à jour 19 oct. 2016)
Pas encore en vacances....ce soir ! Obligé à une pause à mi - lecture (45min)...

William Theaux 19 oct. 2016
moi non plus, pas vacances en effet... https://steemit.com/fr/@dwt/un-scandale-dans-la-memoire !

Serge Chappellaz 19 oct. 2016
Ne serai qu'en vacances de mon employeur officiel, ce sera bien sûr pour travailler à temps plein pour Unefpe..... ^_^
Serge Chappellaz 20 oct. 2016
J’atterris !...avais oublié de suivre le lien...c'est donc bien "mon" employeur au final qui bouffais aussi "ton" oxygène".... vivre de l'intérieur, chacun à sa façon, la décrépitude programmée de la sécurité sociale n'est pas expérience agréable.
Bon, allez, je reprends la seconde partie de la vidéo... c'est pluss porteur !

Serge Chappellaz 20 oct. 2016 (mis à jour 20 oct. 2016)
La sélection naturelle choisit le processus qui dissipe le pluss d'énergie (50:12) La sélection naturelle n'agit pas sur les individus, elle agit sur les gênes (50:46) (néo-darwinisme, le gêne fait tout pour se reproduire, nous ne somme que son véhicule pour qu'il survive et se multiplie) En fait c'est l'information qui se reproduit (51:15) Mémoriser l'information c'est diminuer l'entropie !
ne structure participative qui s'organise diminue son entropie...(51:47) L'information est bien pluss efficace pour dissiper l'énergie que l'énergie elle-même
Mémorisation dans les gênes de l'information sur l'environnement... (53:36) Feed-back positif comme disent les cybernéticiens...
Les gênes évoluent lentement, si la dégradation de l'environnement est trop rapide et que les gênes n'ont pas le temps d'évoluer, les espèces s'éteignent... (55:39) Alternance entre macro-évolution lente et micro-évolution rapide
Évolution de l'humanité (59:30) Chez l'homme l'information est répliquée aussi dans les cerveaux sous forme de "mêmes". La sélection naturelle agit sur les "mêmes" comme sur les gênes (code mémétique = langage, ressource mémétique = héritage culturel, évolution mémétique = évolution culturelle) Dawkins 59:40 Suivre l'humanité à l'évolution de son langage (Evolution du code mémétique - Cavali Sforza) (Géographie génétique)
C'est l'évolution de la mémoire, la rapidité d'évolution des mêmes qui peut suppléer la lenteur évolutive des gênes (1:02:30) Il faut remplacer les gênes par les même c'est à dire la culture
Les bactéries échangent des gênes (1:10:01 ... clin d’œil à Javier...
Le degré d'altruisme entre les animaux est déterminé par la proportion de gênes communs (...information commune) (1:07:47) Stratégie de coopération donnant-donnant (1:11:45) L'homme échange beaucoup d'information ne serait-ce que par imitation
Un ensemble d'individus échangeant de l'information forme un réseau neuronal... les sociétés humaines se développent en créant un réseau "neuronal" d'individus échangeant et mémorisant de l'information (1:17:00) L'effet de la reine rouge : lorsqu'une culture n'est plus capable de s'adapter aux changements de son environnement elle s'éteint. De nouvelles cultures la remplacent.
Éviter l'effet de la reine rouge ? ....courir moins vite mais on se fait doubler par les autres...
L'effet s'évanouit avec la formation d'une société planétaire unique capable de contrôler son environnement = prise de conscience collective de l'environnement et...du mécanisme de la reine rouge

William Theaux 22 oct. 2016 (mis à jour 22 oct. 2016)
La sexualité, est dans quelque taire-mot dynamique.. facile à dire ! encore faudrait-il trouver ce mot caché. Sait-on jamais ce qui se cache dans les mots ?
https://steemit.com/fr/@dwt/la-sexualite-cachee-dans-l-evolution-darwinienne

Serge Chappellaz 22 oct. 2016 Pfff...prise de tête complète avec l'identification sur steemit : impossible de me reconnecter ni de trouver un topic correct pour y comprendre qq chose.... soit je suis vraiment con, soit ils n'ont rien fait pour qu'on s'y retrouve.... grrrr !...
Serge Chappellaz 22 oct. 2016 Tiens ! mes recherches me conduisent à ça : https://decentralize.today/the-ugly-truth-behind-steemit-1a525f5e156#.r40s3xb0v Me voilà complètement hors sujet si ce n'est que j'en profite pour exprimer le fait que la dispersion des dépôts d'information n'aide pas à la fabrication de nos "mêmes"....
Serge Chappellaz 22 oct. 2016 Bon, ça va mieux, exaspération steemit passée, remarque idiote, pardon ! C'est pas parce qu'il est probable que la vérité n'ait aucun auditoire qu'il faut renoncer à la diffuser autant que possible...!

William Theaux 22 oct. 2016
Oui.. eh bien, effectivement, il est possible que, pour éviter que la vérité soit vue ou lue, le meilleur moyen soit de l’afficher en public ; plus on l’exposera et plus elle sera refoulée, et elle pourra finir dans des petits coins tranquilles – comme ici. Ce qui n’est pas dire qu’on y dit la vérité ; mais on est à sa place probablement, et c’est très bien parce qu’adapté à la situation. Je vais donc déposer ici un lien qui sera bien là. Mais d’abord un mots sur Steemit & C° et les « ugly truth » - Steemit est intéressant parce que c’est mode et qu’on y comprend rien. Seule sa promotion ressemble clairement à un gros investissement fait pour un retour lucratif. Mais le monde est dans une telle corruption généralisée jusqu’à l’initiale, de toute chose qui soit un peu efficace – immédiatement capturée et masquée. Nous sommes bien à cette troisième loi selon laquelle, les structures visent à dissiper jusqu’à l’extrême l’énergie. A l’arrivée, il reste moins que rien, un null si réduit qu’un O.. un O « même pas » vient à point loger la vérité, le sens dans le non-sens du reste.
Je poursuis ce type de laïus parce que dernièrement, depuis des mois, j’ai soutenu un travail comme rarement j’avais pu le faire. J’ai déballé un bagage qui me venait de je ne sais où, et j’ai dû le remonter comme on remonte un fleuve, jusqu’à la source que j’ai cherchée comme l’élément provocateur, qui puisse rationnellement détonner au point que le sens à nouveau coule de la vérité. Je n’en dis pas plus, mais seulement que la suggestion de non-A de Vogt et de la science fiction affirme sa justesse. C’est sur ce type de raisonnement qu’on va l’entendre. Et finalement, au moment où j’arrivais au terme de ma construction, je trouvais ce récapitulatif de l’Évolution qui donne à O-pas le sens. À toi de jouer, du coup, dans l’entreprise où tu le lances de traduire la théorie exposée par La Fonction de l’Organe. Après qu’il ait longtemps manqué d’une suffisante sémantique, on peut à présent bénéficier de la lumineuse expression qu’offre la puissance de l’ O [voir sur flog format 'barre-au-dessus] .
Quant à moi, voici à présent le produit, sous la forme d’un résumé, un script encore imparfait, une liste de vidéos qui orneront comme une bande dessinée, un texte à fignoler et publier intégralement fin décembre. Je la mets ici dans ce coin reculé d’une parfaite publicité http://www.antheaumtoll.xyz/2017/lathakh/lathakh_C0_v.htm surtout pour que tu y constates comment je traiterai de mon côté la différence, conflits et substitutions, que l’histoire aura montré selon la disposition d’écriture, sémantique ou linguistique de Lacan. Si bien sûr tu y trouves à faire notes et commentaires ce sera d’autant mieux.

{ toujours meilleur format/éthique suivant flog http://www.lasainteethique.org/2016/htm/201603150956_flog_DWT-62.html#20161022200400 }

Serge Chappellaz 22 oct. 2016 
Je chercherai bien sûr à déchiffrer Lathakh avec grand plaisir, mais pour l'heure (l'heure pour moi de passer à l'attaque de la tentative de traduction de LAFDLORG) je rie très jaune de mon audace à faire une telle proposition !... ("Pas grave, même pas peur !...." dit-il façon Émile Coué...)
Pour le moment donc, je relis en cherchant par quel bon bout attraper la pelote de laine pour la dérouler... et j'ai un peu peur de me vautrer....

Serge Chappellaz 22 oct. 2016 
Et j'aurais bien sûr dû écrire pelote "de l'aine".....

William Theaux 23 oct. 2016 
Ah il faut que je dise... ainsi commence LFDLRGN : [ face à la caméra ] c'est à dire que c'est une conférence parlée à l'appui de schémas au tableau etc.. en 87 les premières VHS sauvées ensuite de l'obsolescence ; ces initiaux on été numérisés, actuellement accessibles. Probablement facilitants pour la lecture ; destinées à l'UCMPP et je n'avais pas alors 40ans - ceci expliquant que je n'y revienne pas volontiers

 

_3_Serge Chappellaz 22 oct. 2016 

Je tombe sur ce témoignage facebook :
https://www.facebook.com/marguerite.stern/posts/374994719557785
Et ça me ramène à la fin de discussion de notre hangout de mercredi initiée par Javier minute 56:00 et du lien à la violence que je voyais sans pouvoir développer :
https://youtu.be/17DqRL6gwgE ( CA-UNEFPE : HangOut / 19 oct 2016 : Psychisme et Écologie )
... de la violence générée par la non connaissance de la différence...
On va donc tranquillement continuer à tenter d'aider la compréhension humaine du déchiffrage effectué de cette différence...

 

_4_Serge Chappellaz 23 oct. 2016 

Bon.

Il faut donc que je me lance.

Mettre « mes » mots sur ce que j'ai perçu de la « véritable » différence entre le corps de la femme et celui de l'homme. « Corps » entendu dans sa « globalité », cerveau compris, c'est à dire pensée (« pan c'est », prise de conscience d'un « tout », d'un concept global...).

Je sais ce que la compréhension de cet élément de « la connaissance » m'a apporté, personnellement. Et il me semble naturel, peut-être vital (?) de vouloir partager cette expérience, même en mesurant la difficulté majeure de l'exercice.

Le propos de William (Lafdlorg) débute par un premier concept difficile avec cette notion d'anamorphose.
J'y vois l'expression, justement, de cet espèce de jeu de miroir qui se joue entre la tête et le corps (dans le sens restrictif de ce que l'on appelle « le tronc ») au niveau...du cou, là où se joue, justement « la parole ».

Ce niveau de "séparation" a toute son importance et on peut l'imaginer comme la membrane ou la peau d'un tambour qui assimilerait toutes les vibrations émanant de part et d'autre de sa surface (un côté tête, un côté tronc) pour produire une pensée, dont quelques bribes seulement trouveront une porte de sortie avec la parole, le reste continuant à résonner (raisonner...ou pas !) dans la caverne de l'enveloppe corporelle.

Tout ça pour souligner cette évidence que la tête et le tronc, ben...ça communique !

Il y a de la communication entre nos enveloppes corporelles et l'extérieur mais il s'agit d'abord (peut-être surtout, pour ce propos) de réfléchir aux communications « internes » de nos corps respectifs (et respectables... !).

Et, cette communication interne, elle se fait grâce au système dit « nerveux » que je vais à mon tour essayer de décrire avec....mes mots (pour tenter de servir de mémo...).

 

William Theaux 23 oct. 2016
J'espère que j'ai bien fait - https://steemit.com/fr/@dwt/pour-commencer-a-en-finir-avec-l-ignorance-du-sexe (pris une copie du post mis sur flog et steemit avec une vidéo sur tête & corps) - j'ai signé le tout DWT by SeChapp

QUESTION : faut-il être abonné pour ouvrir les pages steemit ? sinon quelle était la nature du problème rencontré antérieurement ?

Serge Chappellaz 23 oct. 2016

Non, aucun problème pour lire les posts sur steemit en suivant le lien hypertexte. Je voulais simplement m'identifier pour voter puisque ça semble être l'idée de base, celle d'une rémunération des auteurs en fonction des votes... et donc, malgré efforts et recherches je n'arrive pas à m'identifier.
Sinon aucune réserve de ma part à propos de ta démarche.

William Theaux 23 oct. 2016
ok - note encore re.seemit : je n'ai absolument rien compris à son système vote/monnaie - mais alors, rien.

 

 

_5_Serge Chappellaz 22 oct. 2016 

"Bon.
Je vais partir du b-a.ba, veuillez m'en excuser.

On peut prendre l'organisation du système nerveux par pleins de bouts pour essayer de l'extraire de la boue (pour ne pas dire la bouillie) conceptuelle.

Une première analogie, éventuellement aidante, serait à faire avec un réseau électrique.
On peut imaginer un " récepteur " (d'information) comme un interrupteur. Quand on appuie dessus il fait passer un courant. Ce courant va suivre un fil pour arriver éventuellement à une lampe qu'il va allumer (d'ailleurs, c'est l'image utilisée pour figurer qu'on a une idée ! ).

Au niveau de notre système nerveux, les interrupteurs sont assez variés et diversifiés mais retenons pour l'heure, sans pluss développer, que, parmi eux, ceux que l'on qualifie de " sphincters " sont des interrupteurs de la première importance.

Les fils, se sont les nerfs qui se regroupent dans des faisceaux de plus en plus gros qui se regroupent eux-mêmes pour faire des plexus, qui eux mêmes vont rejoindre la moelle épinière qui en remontant va former le tronc cérébral puis le cerveau.
Je le prends dans ce sens, de la périphérie vers " le centre " mais l'information circule bien entendu dans tous les sens (schématiquement de la périphérie vers le centre pour la sensibilité et du centre vers la périphérie pour la motricité).

Mais, pour être comparé à un fil, le nerf n'en est pas moins beaucoup pluss complexe ! C'est une cellule avec un corps cellulaire qui contient un noyau et un très long prolongement qu'on appelle axone qui va se terminer par... une terminaison nerveuse qui va transmettre l'information en libérant des substances chimiques dans ce qu'on appelle la synapse, libération chimique provoquée par l'influx électrique (car ce n'est pas qu'une analogie, il y a bien transport d'électricité au sens littéral...).

Dans notre cerveau, l'ensemble des corps cellulaires et terminaisons nerveuses est regroupé dans ce que l'on appelle la substance grise tandis que les fils (les axones) forment la substance blanche. (L'équivalent de la substance grise en périphérie forme les ganglions nerveux mais ça n'a guère d'importance.)
La substance grise cérébrale est " individualisée " par les noyaux gris centraux qui sont " profonds " dans le cerveau et d'autre part le cortex qui tapisse toute la surface cérébrale de cette dite substance grise.

Tout ce laborieux descriptif pour en venir à préciser les anamorphoses du corps au niveau du cerveau représentées par les mystérieux schémas des pages 11 et 12 de Lafdlorg.En voici une image plus claire au niveau du cortex : https://ixquick-proxy.com/do/show_picture.pl?l=francais&rais=1&oiu=https%3A%2F%2Fs-media-cache-ak0.pinimg.com%2F736x%2F16%2Fa7%2F80%2F16a7800ab7553a71f57093d6e24d6dd2.jpg&sp=24c0ad50921b7f0dbfca25bc5825072f 

Même si William donne un indice de ce qu'il faut comprendre en disant : " Mais elles consistent d'avoir reconnu que des stimulations électriques mobilisent partiellement le corps en ces endroits, et réciproquement - dont elles peuvent stimuler la sensibilité autant que la motricité. "....
…. j'essaye de traduire en disant que ce qu'il convient de comprendre c'est que, par exemple, si je me pique le bout du pouce avec une aiguille, l'information de la sensation de piqûre va " atterrir " exactement à l'endroit de mon cortex cérébral où est représenté le pouce sur le schéma du cortex.

En piquant tous les endroits de mon corps avec la même aiguille ça va stimuler une partie de ma substance grise et c'est le repérage de toutes ces zones qui va permettre de reconstituer arbitrairement l'image d'un corps comme une anamorphose, soit au niveau du cortex, soit au niveau des noyaux gris centraux (c'est là où la lampe s'allume au bout du fil !...). (avec une topographie différente d'ailleurs pour la sensibilité et la motricité)

Et, c'est cette localisation d'une information propre à l'anatomie du corps dans le cerveau que William qualifie de " plat " (croix " b " de la figure 12)"

 

 

 

_6_Serge Chappellaz 24 oct. 2016 

Évidemment, là, avec mon exemple piquant de l'aiguille, ça parle ! Je veux dire que c'est simple.

On est dans l'organisation neurologique de base, réflexe.
L'aiguille traverse la peau, stimule les récepteurs nerveux de la douleur provoquant un influx électrique qui remonte les voies sensitives, informe le cortex à l'endroit de la représentation de la sensibilité du pouce – le 'plat' correspondant au pouce - (l'endroit est disproportionné parce qu'il y a énormément de fibres nerveuses qui permettent toutes les nuances du toucher et de la motricité fine et complexe de la main), l'influx va se propager à la zone de commande motrice des muscles de mon bras déclenchant l'influx descendant les voies motrices qui vont faire contracter ces muscles pour retirer le pouce de l'aiguille qui l'agresse.

C'est simple parce que tout le monde peut se le « représenter » à partir des quelques mots de langage que j'ai utilisé, sous la seule exigence de parler la même langue, d'utiliser le même langage (bien qu'on commence à être suffisamment informé de l'insuffisance des mots pour exprimer TOUT ce que l'on veut dire... soit ce qui échappe à la nomination aussi précise soit-elle).

C'est simple parce que tout le monde est « équipé » de tout ce que je décris dans son propre corps. Je n'apporte que quelques termes ou nominations techniques éventuellement non acquises.

C'est simple parce qu'on comprend très facilement le « pourquoi » de cette organisation quel que soit notre degré de masochisme ou de tolérance à la douleur !...

C'est aussi simple parce que l'interrupteur stimulé au niveau de la peau est relativement simple et basique, tout comme le stimulus fin comme la pointe d'une aiguille...


Or donc.
Sur cette base simple d'un corps tout équipé en récepteurs nerveux, organes compris, en échange d'informations permanent avec une partie du cerveau et bien, le postulat de Freud de voir une différence entre un zizi (qui saute aux yeux dirais-je) et un clitoris (dont la mise en évidence réclame certes un examen légèrement plus attentif mais n'en est pas moins tout à fait là, présent...) peut-être considéré (le postulat) comme une simple construction idéologique, un mythe comme William le suggère, quelque chose qui n'a aucun critère de preuve organique !

Toute la théorie qui en a découlé (complexe de castration) est construite sur une base sans fondements. Le château de cartes s'écroule et on ne tient toujours pas la « valeur » objective qui pourrait établir quelque différence dans la 'pan-c'est' entre femme et homme....

Cela n'enlève rien à l'immense gratitude que l'on doit à Sigismund d'avoir été le premier à mettre la focale de l'objectif sur cette question fondamentale. C'est simplement dire qu'il a raté l'objectif, qu'il a manqué d'objectivité, qu'il est passé à côté de l'objet de....nos tourments !
La question de jeter le bébé avec l'eau du bain ne se pose pas.

Serge Chappellaz 24 oct. 2016
Je préviens qu'en avançant dans ma tentative je butte évidemment sur un degré de difficultés qui va croissant. Il s'agit tout de même (à terme) de faire concevoir quelque chose qui ne se conçoit pas ou plutôt qui n'a pas été conçu auparavant ! Et mon soucis principal est d'essayer autant que possible de ne pas dire trop de bêtises....
Ceci pourra expliquer une certaine inertie de mes post à mesure de ma progression. Tourner 7 fois la langue dans ma bouche avant de publier n'y suffit pas.... Slant

 

_7_Serge Chappellaz 24 oct. 2016

Peut-être qu'à ce stade il serait utile de livrer un indice de la suite.

Tout ce début de développement (ou, pour être plus exact, d'interprétation humaine d'un propos radicalement novateur bien que datant de pluss de 30 ans mais dédaigné de l'humain depuis), a donc cherché à nous faire comprendre à quoi correspondait 'le plat', l'empreinte, la 'signature' au niveau de la substance grise cérébrale... (substance à comparer peut-être au processeur de l'ordinateur qui gouverne le fonctionnement de tout le reste...?).... des informations que le reste du corps lui 'envoie' afin que ce cerveau puisse 'gérer' ce corps qu'il 'habite'.

Bon.

La première notion dont je souhaite parler maintenant c'est en disant qu'entre un cerveau et un corps féminin et son homologue masculin la différence peut se comparer à un faisceau électrique de pluss dans le corps de l'homme. Un faisceau complet avec son interrupteur/récepteur d'informations, ses fils ( ! cas de le dire, selon la prononciation, on verra pourquoi pluss tard...) et le 'plat' correspondant au niveau de la substance grise.

Et comme nous sommes sur le sujet du tabou le pluss ultime, je m'empresse de rajouter qu'en disant l'homme a une 'structure' en pluss de la femme, je ne sous-entends aucunement que l'homme c'est « pluss-mieux-bien » que la femme, non !... Je dis juste que la présence de ce faisceau est attestée, prouvée et que l'on doit sa reconnaissance au docteur William Théaux au 20è siècle.

Mon enfantillage du « pluss-mieux-bien » n'est pas innocent d'ailleurs !
Parce que jusqu'ici, rappelez-vous, nous sommes restés à l'intérieur d'une enveloppe corporelle indifférenciée et, je trouve que la représentation la pluss parlante de cette entité c'est le bonhomme-tétard arrondi que nous avons tous dessiné dans nos premières années de vie.... ça parle à tout le monde !

Car cette entité n'est, jusqu'à preuve du contraire, pas autonome ! Il y va de sa vie, de sa survie, de la survie de son espèce de pouvoir communiquer avec l'extérieur de sa 'coquille'....

Et c'est là que.... roulement de tambours.... les sphincters entrent en jeu !!!....

(...et peut-être en 'je', va savoir !)

 

_8_Serge Chappellaz 25 oct. 2016 

Mais, avant de passer à la suite, quand même une précision supplémentaire suite à l'indice livré dans le post précédent (...et même si ça risque de faire 'monter la tension'...) :

C'est pour faire le lien avec les propos de Françoise Dolto dans son livre SOLITUDE, page 5-6 de Lafdlorg (en dessous de la figure 2 pour ceux qui n'accèdent pas à la pagination).

Je cite William d'abord, ce sera pluss simple :

« Selon elle, la position du garçon vis à vis de la solitude est particulière; dépendant de sa situation vis à vis de la pensée - vis à vis de sa pensée; entendue comme sa compagne /...................... / c'est l'opinion /................................ / d'une femme - ce qui est important à préciser, mais aussi à noter. Parce que rares sont réputées de telles opinions; surtout se concluant au niveau socratique...
je veux dire qu'on extrait du livre: Je ne crois pas qu'une femme aurait pu arriver à zéro. Et je notais que nous étions au niveau socratique, car Madame Dolto conclue cette réflexion [son opinion), d'un je ne sais pas.
[en marge sur notre fil, dans cet article toujours, il est possible de lire ce que la psychanalyste tente d'articuler sur ce thème correspondant à l'identification narcissique - soit "identification narcissique à Dieu" [homme... mais selon qui?] soit "identification narcissique à l'enfant" [pour la femme, selon elle, si ce n'est omettre le paradoxe que comporte cette identification] et l'évocation de Schreber - peut-être aurons-nous le temps d'en parler... ici évoquant qu'il s'agirait de quelque chose comme de "la joie" d'arriver à zéro]
Quel est le rapport ou l'articulation de ce thème alors évoqué de la forme à l'anaforme, avec une certaine logique qui serait celle du zéro? - du chiffre.
»

Et... je reviens à mon analogie avec le faisceau électrique.

Pour souligner dans cette analogie l'importance du 'plat', de l'empreinte dans le cortex. Avec une preuve de cette importance qui est le fait que quelqu'un qui se fait amputer d'un membre (jambe, bras, tout ce qu'on voudra imaginer, sauf la tête ! C'est déjà assez compliqué comme ça !...) garde le 'sentiment' d'avoir ce membre au point de ressentir des douleurs dans le membre absent que l'on qualifie de 'douleurs fantômes'.

On peut imaginer la situation inverse (qui commence à se voir réellement d'ailleurs) : si un individu naît sans un bras ou sans une jambe et qu'on lui en greffe un, cette greffe aura beau être en place que, 'dans son cerveau' cette greffe n'existera pas !

S'il se regarde alors dans une glace, il pourra voir un prolongement de son corps qu'il ne voyait pas avant mais ce prolongement lui paraîtra pour autant parfaitement étranger à lui même : il ne saura pas ce que c'est si on ne le lui apprend pas, à la fois à le reconnaître comme sien, puis à s'en servir !

Ceci pour dire, pour prévenir, que l'exercice de 'compréhension', de 'représentation' qui fait l'objet de cet espace, va présenter un degré de difficulté pluss important encore pour la femme.

Non pas que les hommes aient d'ores et déjà conscience de ce qui est exposé ici, non ! Mais ils vont (dans le meilleur des cas) « reconnaître » quelque chose qui est en eux, sans qu'ils l'aient soupçonné jusque là, alors que la femme va avoir littéralement à « imaginer », 'construire une représentation' qui lui est parfaitement étrangère....

De là, le « trou » de la représentation de l'homme chez la femme relevé dans le propos de Françoise Dolto (et l'interprétation de William) qui ne lui permettrait de se représenter 'l'homme' qu'avec pour seule alternative 'un Dieu' ou 'un enfant'....

 

Bon, détendons nous ! … on avait prévenu que l'exercice serait difficile... !...

 

_9_Serge Chappellaz 26 oct. 2016

Je progresse moi-même lentement dans l'exercice.

Essayant de jongler entre ce que j'ai saisi du propos qui me sert de fil conducteur « naturel » et le propos lui-même (Lafdlorg) que j'ai envie de comparer à l'Osmium qui est le corps chimique le pluss dense connu... ! (...marrant d'ailleurs car au final on verra que c'est une histoire d'ostium....!)

Petite note en aparté pour me soulager de la peine que ça me donne ces aller-retours !... et en appeler par avance à votre indulgence car si j'en extrait le 1/5è ce sera déjà beau, en espérant encore que ce soit le cinquième qui aide à avancer....

Bon, cette respiration m'étant auto-accordée, j'y reviens.

Je vous avais annoncé l'arrivée des sphincters...

Mais je me demande s'il ne faut pas que je cale une autre petite mise en bouche (….quand je pense que je suis relu par un psychanalyste... !...^_^).

Bon, parce que, quand même !... on a parlé de la fausse piste du postulat fondateur de Freud.

Mais, quand même, songeons deux minutes à cette affaire :

Freud, médecin, homme, neurologue, inventeur de la psychanalyse, dont on peut légitimement supposer qu'il s'était déjà trouvé nu devant un miroir, qu'il avait une idée concrète du rapport sexuel et qu'il avait déjà eu à examiner beaucoup de patients dont une bonne part nus....

.donc qui perçoit qu'il y a des choses à creuser du côté de la différence sexuelle anatomique entre les sexes, décide de traiter de ce sujet, y réfléchit et écrit plusieurs articles sur la question....

..en omettant tout du long de parler des testicules..... !!!!!!!!!!

Ça interroge pour le moins, non ?????

Bon. Je vais pas développer, mais moi, quand j'ai découvert ça, j'ai eu un tel fou rire qu'il m'est resté en mémoire....

 

Voilà. J'arrête mes détours et j'en reviens à mon bonhomme têtard (dont je réalisais d'ailleurs que les premières ébauches ne faisaient pas de distingo entre tête et corps...!) qui doit, pour survivre, communiquer avec l'extérieur de 'sa bulle'...
.oui, évidemment, va falloir des trous, dans l'enveloppe, dans la carapace, si de l'information doit y rentrer ou en sortir, information sous toutes ses formes !

Et alors, le sphincter....

Bien sûr, il traîne avec lui (côté nomination) une connotation 'pipi-caca' qui suffit à en faire se détourner l'attention...
...mais, un sphincter, c'est avant tout...un trou !... (outre le fait que les deux sur lesquels notre attention va être amenée avaient, jusqu'au constat de William, fait l'objet d'un trou de mémoire !...)
...un trou sensé s'ouvrir et se fermer, soit, là n'est peut-être pas l'essentiel.

Mais, la plupart des ouvertures qui permettent une communication, un échange, entre la limite de la carapace corporelle et le reste du monde peuvent être assimilées à des sphincters !...Et, la fonction, le rôle de ces sphincters dans la communication avec l'extérieur est fondamental !

Si je ne fais pas d'erreur, c'est 'l'objet', cet objet O de la figure 3 rattachée au propos de Lacan à propos de la 'Lettre sur les aveugles à l'usage de ceux qui voient' de Diderot,

Je cite William :
« "Relation subjectivante originelle"...disons maintenant qu'il s'agit (sur le thème de la vision) de quelque chose qui s'appellerait le regard; sorte d'objet, de point difficile à situer, qu'on saisit et ne tiendrait, dans l'espace, dans l'insaisissable d'un zéro. »

Et, si je ne suis pas à côté de la plaque toujours, (au cas où, l'auteur me rattrapera), c'est aussi de l'ordre du « plet », cette information importante circulant comme information réelle dans le corps mais ne faisant pas l'objet d'une identification sous forme de « plat » dans la substance grise...

Allez, pause !

La suite au prochain épisode...

 

_10_Serge Chappellaz 27 oct. 2016 (actualisé il y a 27 oct. 2016) 

Voila. L'importance des 'trous' est posée.

Nous avons maintenant les éléments suffisants pour ne plus avoir à ménager le suspens (cas de le dire...).

Car voilà, elle est là, on la tient cette fameuse
DIFFERENCE ANATOMIQUE ENTRE LES SEXES... :

ce sont

DEUX SPHINCTERS DE PLUSS DANS L'ENVELOPPE CORPORELLE CHEZ L'HOMME.... !

Parce que, si Freud a si caractéristiquement omis les testicules, c'est que c'est eux qui conduisaient à la véritable piste de cette différence sur laquelle il a fait fausse route.
Non pas les testicules eux-mêmes qui peuvent (en tant qu'organe spécifique de la transmission génétique en vue de la reproduction) être strictement équivalents aux ovaires chez la femme (comme pénis/clitoris, prostate/utérus, scrotum/grandes lèvres, etc...), non !
Mais de par la spécificité de leur situation qui fait l'objet d'une MIGRATION PENDANT LA VIE EMBRYONNAIRE ET LE DEVELOPPEMENT DU FOETUS A TRAVERS LA PAROI ABDOMINALE !

La description du phénomène que fait William autour des figures 20 à 22 me paraît suffisamment claire et détaillée.

Je ne ferai que la reformuler en disant que au début du développement du fœtus la gonade (ovaire/testicule) se différencie bien chez le garçon comme chez la fille au même endroit, entre les feuillets 'abdominal' et 'pelvien' mais DANS l'abdomen, mais que, sur la fin de ce développement fœtal, et chez le garçon uniquement donc, les deux testicules vont opérer une migration HORS de l'abdomen en passant au dessus de l'os du pubis de part et d'autre entraînant avec eux les cordons spermatiques pour 'retomber' en avant du pubis, passant de part et d'autre du pénis, pour finir dans cette poche qu'on nomme le scrotum qui est l'équivalent des grandes lèvres de la femme qui se soudent entre elles en se rejoignant.

Il y a donc bien eu 'ouverture' et 'fermeture' d'un orifice de la paroi abdominale au niveau de l'aine (pour aider à situer, c'est la réouverture de cet orifice qui peut conduire à la 'hernie inguinale').

Mais quand on dit 'fermeture' c'est très relatif puisque passent en permanence par ce 'passage' les deux cordons spermatiques avec tout ce qu'on appelle 'le paquet vasculo-nerveux' des deux testicules.

Bon, on n'est pas au bout de nos peines mais un gros cap est passé !....

 

_11_Serge Chappellaz 30 oct. 2016 

Pas au bout de nos peines est un euphémisme.

Après, ont va gagner au...vertige !
Mais on a acquis un bout de début de représentation « physique » si je peux dire d'une différence anatomique « réelle ». C'est le premier 'pas' (...de 'papa'...?) nécessaire.

L'étape vertigineuse d'après est de l'ordre du "oui, bon d'accord mais...qu'est-ce que ça veut dire ?". Et sur cette question on va certainement avoir à s'enfoncer encore dans la pensée complexe chère à Edgar Morin.Ce n'est pas une raison suffisante pour se laisser décourager ni laisser tomber là l'affaire.

Un petit espoir pour s'encourager en commentant cette sorte d'introduction de William au chapitre de l'anatomie (page 18-19, autour de la figure 18).
Je le cite (schéma en moins) :

« Avant que traiter précisément de l'anatomie il faut clarifier ceci; nous aurons à distinguer sans doute le pénis et beaucoup de gens s'impressionnent d'être arrivés à cette capacité de séparer pénis et phallus. Nous nous demandons s'ils savent ce à quoi ils n'aboutissent. Nous distinguons ici aussi l'un de l'autre mais d'une façon qui est rarement en usage. Celle qui désigne le pénis pour ce qu'anatomiquement on entend, différent du phallus
Cette différence est illustrée aussi selon différentes représentations religieuses En Asie, par exemple, ce qui s'appelle le linguam, est cet espèce de bâton, de trait, sans testicules. Simplement le pénis, la verge, singulière avec ses corps caverneux, voilà de quoi il s'agit.
En Grèce, les représentations religieuses de l'organe appelé phallus, le concevaient constitué avec les testicules.
Nous ferons ainsi cette distinction et avec celle-ci du troisième, que nous appellerons le phi; rejoignant seulement là cette subtilité où certains s'exercent à distinguer le pénis du phallus selon les qualités physiques et symboliques. C'est à dire que si nous désignons là le pénis comme tel, et ici le phallus incluant la substance germinale; c'est par phi que la fonction est désignée en tant que sexuelle. Cette catégorisation préserve l'écriture PHI de ce que symbole il vaut; mais, majuscule, en tant qu'écrivant le clivage (l'hétérogénéité trophique, tissulaire), entre le pénis et le phallus comme fonction qui vaut d'être appelée: fonction de l'organe. »

Et donc, on peut situer l'espoir dans le fait que « ...des gens soient arrivés à cette capacité de séparer le pénis du phallus selon les qualités physiques et symboliques... »...

Et c'est un peu la nature de ce qui nous attend à partir de ces nouvelles bases représentatives anatomiques.

En omettant pas de constater ici que, si la construction du 'physique' au 'symbolique' établie par Freud reposait au départ sur un constat erroné de 'la chose physique' ben.... il y a de grandes chances qu'elle nous conduise à une construction symbolique inopérante à distinguer quelque différence que ce soit entre la pensée de la femme et celle de l'homme.

C'est un peu ce que je voulais signifier dans ma réponse à Françoise à l'origine de la 'discussion' (ou qui le deviendra...) actuelle, en disant que, possédant un authentique clitoris la femme se trouvait autant que l'homme en capacité 'de se la péter' en cherchant à prouver elle aussi 'qu'elle avait la plus grosse'.....(bite, personnalité, fortune, beauté, intelligence, maison, frigidaire, voiture...peu importe le 'semblant' utilisé...!).

...mais qu'en ce faisant elle n'était pas pour autant reconnue dans son individualité de femme, pas pluss que l'homme, tout aussi inconscient de ce qui le différenciait d'elle, comme de ce qui le fait 'avancer' (peut-être vers la destruction de l'espèce sans cette prise de conscience à venir... mais là, je grille les étapes).

 

_12_Serge Chappellaz 31 oct. 2016 

Or donc.

Le rapport de l'homme à la femme ou de la femme à l'homme, comme on voudra, en passe donc par une différence de 'représentation' du fait de ces deux trous supplémentaires chez l'homme.

Mais qu'est-ce qui s'y passe ?

Ben on peut commencer en restant proche de l'anatomie et en évoquant une anatomie 'dynamique'...
Or, cette dynamique, concrètement, elle 'se met en branle' (volontaire pour faire sourire...) particulièrement lors de l'orgasme masculin.

Puisque, que se passe t-il lors de cette courte -et quasi exclusive en son genre - 'sortie du temps' ?... Eh bien l'éjaculat et ses cent millions de spermatozoïdes va se lancer dans une sorte de 'grand huit' en empruntant strictement le trajet à rebours emprunté par les testicules lors de leur fameuse migration passant par ces deux sphincters.
Il va, partant des testicules, remonter de part et d'autre du pénis par les deux cordons spermatiques, passer devant le pubis, rentrer dans l'abdomen par les trous d'aine (les fameux sphincters), aller contourner la vessie pour gagner la prostate puis le conduit de l'urèthre et enfin, traversant le pénis trouver la sortie vers....l'Autre... ! (de hors à dedans à dehors....)

Cette boucle passant par le sphincter (tient ! Voilà un 'plet' en image...organique...!) dans sa dynamique, est donc 'agrémentée' (euphémisme encore) d'une expérience neurosensorielle parfaitement inhabituelle en intensité (je disais quasi exclusive en imaginant que c'était peut-être dans l'idée de chercher à la reproduire qu'on pouvait vouloir consommer des drogues.... ?!...).

Et, il n'y a pas à faire un chemin intellectuel bien long pour considérer que, si la nature nous a doté d'une telle capacité d'expérience transcendant les sens, accompagnée rapidement, l'effet passé, d'une très forte propension à vouloir renouveler rapidement l'expérience en question, ben.... c'est probablement et avant tout pour permettre et favoriser.... le renouvellement et le maintien de l'espèce humaine et donc sa reproduction !... (reproduire la reproduction !...).

 

Bon.Je peux sembler en sérieuse digression du texte sur lequel « je planche »... (de mettre à 'plat'...!)

Mais, tant qu'à digresser, notons deux choses au passage :

1/ Que le phénomène ici décrit s'accompagne d'une production non moins particulière au niveau de... LA VOIX !.... 'borborygme' étrange venu d'on ne sais où.... !!

2/ Que notre sens de l'IMAGEination peut nous faire construire, à partir du dessin du trajet (compulsif) parcouru par ces millions de spermatozoïdes en direction de l'inconNUE.... quelque chose qui pourrait bien ressembler à …. DES LETTRES !.... « e » par exemple ou, voir le phi de la figure 18.... hasard... ??

En tout cas ça me fait une transition toute trouvée pour tenter d'aborder les (difficiles à mon sens) propos de William dans Lafdlorg sur...le langage !...

 

 

_13_Serge Chappellaz 2 nov. 2016 

Bon. Je me sentais donc partir sur la pente de la digression....
C'est que... c'est pas facile.

Je me dis qu'il serait dommage que, contre toute attente, il y en ait un(e) ou deux qui, attendant la suite et la voyant tarder, perde(nt) en route l'énergie qu'il(s)/elle(s) ont su trouver jusqu'ici...

Donc, vous dire que je travaille, à un rythme pluss lent. Je dois déchiffrer le déchiffrage. William a reconditionné la vidéo de Lafdlorg et me l'a gentiment transmise. Cela va m'aider mais c'est un matériel de pluss à digérer même si je sens qu'il m'était nécessaire (...je sens mieux le sens de ce qui est loin d'être insensé mais non su...).

Patience donc....

 

T.E. 2 nov. 2016
le travail sur le genre est parti de moi, mais là du mal à suivre, dire que j'aurai aimai être une femme et que je ne m''en privrai pas si besoin ;-)

T.E. 2 nov. 2016
puisque je suis les deux

Serge Chappellaz 2 nov. 2016
Ben... il se trouve que c'est assez pertinent comme remarque, cher Thierry !...
Quand au "mal à suivre" penses bien que ce que tu découvres là, à ce jour, tu ne le trouveras nulle par ailleurs !... c'est une information nouvelle qui parvient à l'humanité timidement.... d'ici que ça devienne une évidence à la première lecture, y'a du chemin !

T.E. 2 nov. 2016
drôle de façon de l'amener
belle reference "bulle part ai ailleurs"

T.E. 2 nov. 2016
c' est pas pertinent du tout, par contre des choses le sont sur le net en rapport avec l'avatar numérique, mais sans rever comme vous le faites......

T.E. 2 nov. 2016
y'a de gens qui programment ici ?

T.E. 2 nov. 2016
je pousse, quel est la pratique de M.Theaux avec un usage numérique ?

T.E. 2 nov. 2016
a t il inclu dans sa pratique thérapeutique un usage numérique ?

T.E. 2 nov. 2016
c'est dans la pratique quotidienne d'un usage numérique que ce serait pertinent, pas juste avec un fllog et du tralala sur de grandes compétences sur l'histoire de la cybernétique

T.E. 2 nov. 2016
faut franchir le pas le pas cher thérapeute et l’intégrer à vos pratiques

T.E. 2 nov. 2016
certes apso ne le fait pas, comme vous

T.E. 3 nov. 2016
http://www.enib.fr/~buche/7

T.E. 3 nov. 2016
là j'irai pas et bordel comme ca me rmue

T.E. 3 nov. 2016
désolé d'être excessif et parfois con

Serge Chappellaz 4 nov. 2016
Je sais très bien être excessif et con aussi , pas grand monde en réchappe...
En prendre conscience est un bon début pour améliorer la situation.

 

 

_14_Serge Chappellaz 3 nov. 2016 (actualisé il y a 3 nov. 2016) 

Voila.

J'en étais donc arrivé à la question du langage.

William entame ce propos sous la forme d'une interrogation.
Celle d'imaginer un être humain qui serait « seul », disons lâché dans la nature sans jamais croiser à aucun moment de sa vie nulle autre créature 'humaine', qui serait soumis à la question de savoir s'il est en capacité de dire (ce qui supposerait qu'il 'le sente') s'il est un 'homme' ou une 'femme'....

Ayant vu l'exacte similitude sur le plan du système nerveux quant à l'existence 'réelle', pour la substance grise disons, des organes et de leur 'représentation' cérébrale plus ou moins imaginaire mais 'inscrite'...et bien disons que, de ce point de vue, très probablement, notre être humain isolé serait dans l'incapacité complète de faire la distinction et dire qui il est !
C'est difficile à concevoir, n'est-ce pas !?...

Mais enfin ! C'est facile pourtant !... le développement différent des seins, la répartition différente des graisses, la différence de finesse des traits, ce zizi qu'on voit... !!!

Ben non.
Ça ne fait pas différence de critère sur le plan de 'la conscience du corps', on a vu justement qu'il n'y en avait pas, pour les organes qui font 'plat'.

Mais pourtant, cette différence, elle nous est bien évidente à tous !!....

Ben oui.
Mais pour une unique raison : qui est celle d'un 'apprentissage' et pas d'un repère 'inné'. Apprentissage fait d'images sur lesquelles sont mis des mots grâce au langage... langage qualifié à juste titre de langue 'maternelle'....

C'est là qu'intervient ce langage imaginé comme un 'miroir' interposé entre les individus, comme des 'grains de miroir'.
Grains de miroir pour 'imager' que ce langage est fait de mots, chaque mot comme un point avec toute ses insuffisances et ses vides de sens...
(le mot-nu-ment, le mot nuement – exemple : le mot 'chaise' provoque une représentation de l'objet en question qui élude complètement par exemple, si cette chaise est faite en bois, la structure interne du bois en question, ses formes internes, les fibres, les nœuds, les molécules, les atomes, qui sont pourtant bien tous composants de ladite 'chaise'...) ... et ces mots inventés comme 'représentants', représentants communs, partagés, qui font représentation pour tout le monde sans distinction de sexe.

Donc, c'est bien parce que l'on nous apprend, avec la langue maternelle, à associer tel type d'image avec tel mot que nous sommes en mesure de dire que telle personne est une femme et telle autre un homme.

Sans le langage nous serions, tel l'être isolé du monde, dans l'incapacité de le faire !

Mais on peut tout aussi bien déclarer que le distinguo réalisé est parfaitement arbitraire et sans fondements selon les repères qui jusque là faisaient critère....(confère, par exemple, toute la mystérieuse 'sphère' dite 'transgenre'...)

J.Gp 5 nov. 2016
Les enfants en bas âge ne se différencient pas de leur mère, c'est seulement avec le temps et l'éducation que la notion du moi s'instaure.
On existe par rapport à l'autre et à cause de notre perception en 3D.
Rien n'existe de façon indépendante tout est relié, le moi ne peux exister sans le toi. Le On de Williams est peut être la clé.

 

 

_15_Serge Chappellaz 5 nov. 2016 

Nous voilà donc 'identifiés', individualisés (indivi – dua – lysé) (lyser c'est..détruire...la dualité donc !) homme ou femme par un double jeu (je) de miroirs.

1/ Le miroir/miroir, la glace, celle qui renvoie notre image par un mécanisme purement géométrique à notre système optique (notre vision) qui établira la différence sur des critères de différence d'image 'pure' c'est à dire, pour reprendre la comparaison avec la chaise : 'il y a différentes formes de chaises'...

2/ Le miroir du langage, dont William dit qu'on pourrait se passer si ce n'était méconnaître sa fonction primordiale dans l'établissement d'une 'pensée', et donc permettant l'échange, la communication de 'pensées' entre les individus... ce langage qui nous fait arbitrairement choisir le genre féminin pour la chaise et le genre masculin pour le fauteuil...sans aucune base objective tangible !...

Et ce double jeu est tellement rodé, efficace, fait tellement 'sens' (mais un sens basé sur l'arbitraire pur), réussit si bien à mobiliser 'les plats' des individus des deux genres, qu'il en permet toutes les extravagances de la mythologie et de l'hypnose collective (que l'on songe deux minutes aux ravages destructeurs de la 'novlangue' dans la propagande ultralibérale actuelle... entrain de produire des masses dont toute la pensée est littéralement 'formatée'...).... hypnose qui conduit à un bonheur si bien limité (dans le sens de restreint) circonscrit et insuffisant du Noüs.

Autre façon de le formuler, ce rapport à l'autre et cette 'situation du moi' par rapport aux autres, le fameux « Je pense donc je suis » de la pensée cartésienne modernisé par William (vidéo termes psy, échange avec Florent) en « Je pense d'On... que je suis »...

Mais donc, ce système de miroirs, s'il convient ou conviendrait très bien à la simple réplication de robots en série qui n'ont pour seule tâche que de répéter ce qu'ils voient des autres, ce qu'ils apprennent à être, sans pluss d'état d'âme.... se trouve décalé, insuffisant, s'il s'agit d'expliquer l'espèce, la sorte de « force » que l'on dira « de propulsion » qui peut pousser un individu à ne pas se satisfaire de ce qu'il a appris et aller de l'avant pour obtenir une sorte de joie à SE réaliser, dans le sens de se mettre en conformité, en harmonie, avec une force interne, indéterminée, mais qu'il sent, confusément, et qui le distingue probablement du robot.

Eh bien, ce moteur, c'est ce qui est qualifié par la psychanalyse de 'pulsion'.

Et les 'rouages' de cette pulsion ont été conceptualisés, imagés, comme le plaisir à faire apparaître/disparaître.

Le 'jeu' de l'angoisse de l'enfant face à l'objet aimé qui disparaît, suivi des éclats de rires à sa réapparition comme une récompense, et ses efforts, dans le jeu ensuite, à acquérir la maîtrise de la disparition/apparition de l'objet à sa demande, selon son bon vouloir...

Or, entre l'apparaître et le disparaître, il y a une zone, une limite, une frontière. Cette frontière c'est le sphincter et on y retrouve aussi 'le plet' !
Car ce n'est pas une zone 'inerte' physiologiquement, elle produit ses effets, elle produit ses signaux, propres, signaux électriques, informations.

Mais ceux-ci se distinguent du fait qu'ils ne font pas critère, ils ne produisent pas un 'plat' caractérisé dans la substance grise, même s'ils alimentent 'toute la machine'.

On peut les imaginer comme un circuit électrique indépendant, de forme circulaire, comme une roue ou une chambre à air, produisant son énergie 'propre' qui se traduit sous la forme de cette notion que l'on a qualifié de pulsion.

 

_16_Serge Chappellaz 5 nov. 2016 

Et donc, à partir de chaque 'sphincter' - comme lieu d'échange d'informations entre l'enveloppe corporelle et l'extérieur, extérieur (entre autre) sous la forme de l’alter-ego, d'abord parental pour l'enfant au monde, à travers le langage – va se jouer ce jeu de la pulsion, lançant une interrogation au monde pour en attendre un retour d'informations permettant l'individuation progressive.

Sans fonctionnement de 'sphincters', l'aveugle ne voit pas, le sourd n'entend pas.
Le sphincter oral permet de se nourrir et de crier à l'extérieur que l'on a faim (le cri lancé en attente du retour de la nourriture), etc... et le langage qui vient mettre des mots sur tout cela pour construire sa représentation du monde et de soi dans le monde. Soit la fabrication des 'plats' dans la substance grise pour 'organiser' un monde 'propre' qui n'est, au tout départ, que 'pure sensation'.

Oui mais voilà !...

Nous voilà avec...

Une petite fille... chez laquelle ce jeu des correspondances au langage va pouvoir s'opérer de tous ses 'orifices'...

Mais donc... un petit garçon... dont le 'volume' de proprioception est additionné d'une migration de testicules par deux sphincters (additionnels à la fille donc) affectés de leur propre jeu pulsionnel : il en a 'la mémoire', 'la sensation' dans son corps...

Cette pulsion spécifique va naturellement soumettre son interrogation propre au monde... en direction de...sa mère....laquelle NE PEUT ABSOLUMENT PAS SAVOIR DE QUOI IL S'AGIT, ni la nature de cette interrogation...donc pas de réponse en retour !
... et, se tournant ou renvoyé par sa mère interroger son père... il se trouve face à un homme qui, ayant posé la question à son âge n'a pas eu pluss de réponse... !
(de là la jolie formule africaine :"Mon père... m'a transmis quelque chose mais... je ne sais pas ce que c'est".)

 

Tout cela nous fait bien le terrain idéal à dénier, à ne pas voir, à ne-rien-vouloir-savoir d'une différenciation entre les sexes... !.... et, partant de là, gêné par des différences de caractères tout de même voyants, pourquoi pas inventer un....mythe de l'envie du pénis !!.....

Mais voilà, tout ça n'en fait pas pour autant disparaître les deux sphincters en question qui vont continuer désespérément à explorer (...les...explorateurs/en bas ça d'heur...!) le monde dans une pulsion sans fin, en quête d'une...réponse...qui n'obtiendra en retour qu'un....'semblant' à jamais insatisfaisant !...

« [de la sorte la proprioception n'apparaît pas comme hallucination sensorielle tandis que s'oublie que c'en est le sensorielle lui-même qui se disculpe de sa fondation en hallucination] »

S.B. 6 nov. 2016
Un grand bravo Serge pour cet énorme déchiffrage ! Je suis ( du verbe suivre ...langage oblige ..) malgré mes 2 sphincters en moins

Serge Chappellaz 6 nov. 2016
Merci Suzanne ! ... de ce chaleureux commentaire qui me touche comme celui d'Arlette.
Mais il y a un moment qu'Arlette et toi prêtez une oreille attentive à ces concepts révolutionnaires... c'est peut-être un peu pluss aisé pour vous.
J'aurais apporté ma modeste pierre si je parviens à "toucher" des oreilles "vierges".... ^_^

 

_17_Serge Chappellaz 6 nov. 2016 

Bien. Tout cela semble se 'tenir'.

Mais ça semble nous conduire aussi à une drôle d'impasse !

D'autant que nous ne tenons pas là l'unique trouvaille du savant William Théaux...

Il a de nombreuses 'couches' à son actif, le bougre !

Mais, la suivante, que je vais tenter de 'traduire' à ma façon, vaut son pesant de cacahuètes (pour ne pas dire de testicules...) en venant à la fois démontrer un état de fait jusque dans la génétique et sa part d'immuabilité, mais aussi la prégnance inconsciente de la nomination par le langage, ce qui encourage à mettre des mots sur tout cela...

Car voilà :
Il va falloir faire (assez superficiellement) de la génétique de la reproduction !....

Car, ces cellules germinales qui sont abritées dans les gonades (ovaires et testicules) ont une particularité.
Nous devons tous avoir des notions minimales du renouvellement des cellules (toutes les cellules de l'organisme) qui abritent un noyau cellulaire qui contient tout l'adn sous la forme de 23 paires de chromosomes (22 paires + les chromosomes sexuels).
Ces paires de chromosomes pour d'une cellule passer à deux cellules identiques vont se dupliquer d'abord pour qu'ensuite puisse s'opérer la séparation de deux génomes identiques dans les deux nouvelles cellules (mitose).

Un processus différent se produit pour les cellules dites germinales où il ne va pas y avoir duplication du matériel mais séparation de chaque paire de chromosomes pour que chaque brin aille donner deux cellules germinales différentes (meiose).

On sait que du côté de la différenciation sexuelle une femme est XX et un homme XY

Eh bien, la fille hérite d'un chromosome X qui lui vient de son père (mais donc de sa grand mère maternelle) et d'un autre chromosome X de sa mère qui lui-même vient soit du grand père maternel soit des autres lignées féminines du côté de la mère.

Autrement dit, de génération en génération il y a un véritable brassage génétique du côté de la fille !

Mais !
... le garçon lui, s'il est garçon a donc forcément hérité du chromosome Y du père qui lui-même le tenait de son grand père qui lui même le tenait de.....

LE CHROMOSOME Y SE TRANSMET TEL QUEL A L'IDENTIQUE D'HOMME A HOMME DEPUIS DES GENERATIONS MILLENAIRES !!....

C'est une évidence pour....qui veut bien le voir et le dire !
Eh bien cela n'aura été vu et dit et souligné en premier que par le docteur William Théaux à la fin du 20è siècle... !

Et.... le temps de se faire à l'idée et de reprendre un peu ses esprits.... et on réfléchit à un second phénomène pluss que troublant pour qui veut bien s'y arrêter et donc relatif à la nomination, au langage.... :

COMMENT SE PEUT-IL QUE SANS AVOIR CONNAISSANCE DE CETTE TRANSMISSION A L'IDENTIQUE DU CHROMOSOME Y LES HUMAINS AIENT FAIT LE CHOIX DE LA TRANSMISSION DU NOM DU PERE D'UNE GENERATION A UNE AUTRE.... ???

.bonne méditation !...

 

J.Gp 6 nov. 2016
Peut être que certains étaient au courant. Bien sûr ils n'avaient pas l'explication scientifique, mais ils avaient l'intuition.
Peut être que l'histoire ne pas celle que l'on croit et que de civilisations très évolues ont déjà vécu dans cette planète. L'Atlantide etc.

Serge Chappellaz 7 nov. 2016
Oui , je pencherais assez pour l'intuition ou la marque du gène sur l'inconscient ...

William Theaux 7 nov. 2016
Atlantide, d’autres civilisations ou l’intuition sont précisément l’objet de l’enquête – par conséquent nous ne pouvons pas nous satisfaire de dire que, pour savoir s’il y a eu Atlantide ou l’intuition, il suffit de répondre qu’il y a eu Atlantide ou l’intuition. Ces réponses sont au contraire les questions. Il n’y a pour l’instant que ce que Serge appelle « la marque du gène » qui semble manquer assez de sens pour que ça en provoque un ; mais on n’en est pas encore là. Pour l’instant, on peut seulement se dire que si par exemple on a eu l’intuition de la permanence Y, ça veut dire qu’on ne sait pas comment on y a pensé ; mais surtout, deuxièmement une fois cette connaissance supposément acquise, le vrai problème commence à se poser. Pourquoi cette intuition a-t-elle eu des conséquences ? comment s’est-elle incarnée ? et selon quel processus s’est-elle compliquée ? Supposons même que ce soit une transmission acquise d’Atlantide ou autre civilisation antérieure. Comment se fait-il qu’on a oublié cette civilisation et qu’on ait continué à employer la nomination transmise du Y ? On aurait plutôt dû oublier du même coup la culture du nom-du-père (du patronyme transmis). Or nous avons transmis le patronyme, sans savoir que nous transmettions l’Y et pour combler la mesure, on a fait ça à coup de secrets, d’initiation réservées et grosso modo occultes. Et c’est alors qu’on se rend compte que ces secrets et initiations transmettrices sont pratiquement ignorantes comme des coquilles vides, de leurs intuitions première. De sorte que rapidement la civilisation est devenue de satisfaction de domination et pouvoir, appuyé sur un secret qui avait oublié sa propre signification. Un beau bouillon qui nous aura désespéré. Seulement, oh miracle, oh voilà.. : ce bouillon, précisément, c’est revenu à la soupe des origines. Nous avons reconstitué le chaos primordial, à partir de quoi, précisément et parfaitement nous allons pouvoir prendre connaissance de ce qui sort, d’intuition ou de pur savoir, d’une pareille inconséquence.Voyons donc où Serge continue de nous mener à partir du terreau premier qui cherche d’où vient l’intuition.

William Theaux 7 nov. 2016
Note : a été mentionnée la marque du gène sur l’inconscient. En bref, ce sont des signes qui sortent de l’inconscient ; et dans l’inconscient ce sont des traitements de codes qui sont au travail. Une « marque » est encore autre chose. Un terrain mouillé est le ‘signe’ de la pluie – une trace odorante déterminée est une ‘marque’ ; est-ce qu’il est possible d’introduire des ‘marques’ dans un traitement de ‘code’ qui fasse ‘signes’ - ainsi pourrions-nous résumer un de nos outils de réflexion et de connaissance. On se dira tralalère.. eh bien voyons si c’est aussi loin de la programmation quand on le rapporte à http://www.tomshardware.fr/articles/recherche-intelligence-artificielle-google,1-61695.html ; Alice et Bob se sont évidemment constitués des marques qui ne font pas signe pour Eve. Ce qui assure la psychanalyse et son vocabulaire d’être effectivement le nec plus ultra de la cybernétique qui ne sera rien sans elle.

 

_18_Serge Chappellaz 11 nov. 2016 (actualisé il y a 11 nov. 2016) 

Ah la la !...
Je ne sais pas si vous pouvez imaginer la gageure que représente mon initiative ici...!

C'est un peu comme de chercher à apprendre une nouvelle langue à deux publics (homme/femme) convaincus probablement de parler la même (langue) pour leur expliquer qu'il n'est pas possible qu'ils parlent la même sans apprendre le nouveau langage.... de leur différenciation !

Bon.Faut pourtant reprendre, après l'intermède chromosomique...

 

Essai de synthèse de nos acquis :

1/ Une identité d'organes et de leurs représentations cérébrales avec pour seule différence une différence anamorphotique, c'est à dire de taille.

2/ Sur cette base, une indifférenciation homme/femme alimentée par la méprise de Freud au prétexte d'établir cette différence (en pratique homme et femme ne font qu'UN en représentation, 1 le chiffre...de l'unité, reniant la différence à compter).

3/ La capacité de concevoir une fonction 'psy' à partir de l'organe (processus secondaire, psychique, symbolisme, métaphore, rêve...)

4/ L'importance première des 'ouvertures' de nos enveloppes corporelles dans la communication avec l'extérieur et l'autre.

5/ La fonction de 'pulsion' comme le jeu de la communication à travers ces orifices et des fonctions 'vitales' à la clé.

6/ Une différence 'authentique', anatomique, enfin identifiée avec cette présence des deux trous d'aine (cachés) chez l'homme, lieu de passage de l'éjaculat et de la transmission du nom du père une fois sur deux 'enfantements' (statistiquement grosso modo).

7/ Et donc, une fonction pulsionnelle spécifique passant par les deux trous d'aine chez l'homme restant en MANQUE D'IDENTIFICATION dans les deux sexes chacun à sa façon : Absence de toute représentation possible dans le corps et l'esprit chez la femme, présence au titre du ressenti du corps chez l'homme sans la possibilité d'en reconnaître, d'en identifier ni l'origine ni la cause dans son esprit.

Et, pour finir légèrement (ou profondément!) ce listing roboratif, en point de mire, l'évocation de ce point ultime de la communication des corps et des esprits que peut-être l'expérience de l'orgasme partagé entre la femme et l'homme... (car, ce que j'ai décrit par avant de l'orgasme masculin n'est bien sûr pas nier quelque réalité à l'orgasme féminin. Les deux sont préposés à cette sortie du temps, ce voyage 'hors')...

Il s'agit donc de trouver à établir maintenant, une fois la distinction établie, une fois la femme et l'homme différenciés pour de bon, le moyen d'un 'langage', d'une représentation commune qui intègre, qui puisse chiffrer (pour qu'elle compte) cette différence.

Comme nous évoquions l'insolubilité apparente du problème il va falloir un recours à la mathématique, au chiffrage.....

Or, le ZERO tombe à pic !.....qui est aussi un anneau, un trou, une bouée, ce regard qui manque à l'aveugle, ce sphincter,.... qui représente ce qui ne compte pas mais permet néanmoins de compter... jusqu'à l'infini !

Il est le O (ô, eau...) aussi, dédoublé dans la bi-O-logie, lunette ronde (double monocle) posée sur le nez qui va permettre de sortir de la caverne du mythe du faux semblant... au lieu du di-E unificateur...

Et il est un anneau aussi ! Et ça, c'est pas mal, ça permet de faire des nœuds !... et y'a des nœuds drôlement pluss 'porteurs de sens' que le nœud coulant qui semblait nous attendre.... !

T.E. 16 nov. 2016
je veuxbienêtre le trou du cul

Serge Chappellaz 16 nov. 2016
Rassures toi : tu l'es, comme tout le monde. Ne sommes nous pas tous trouduc d'un inconscient qui nous berne... profondément !

 

_19_Serge Chappellaz 13 nov. 2016

Et donc.

Pour effectuer nos nouages, pour mettre en place nos anneaux et nos zéros...

on va reprendre nos deux corps et leur tête en face à face séparés par le langage...
Et, le jeu de la pulsion, tel un lasso lancé vers l'autre, à travers l'autre (le for – da de Freud, le jeu de la bobine, le signal lancé vers l'autre en attente d'un retour qui fasse image, qui fasse corps, qui corresponde – corps réponde...)

Et, à chaque sphincter sa pulsion, sa pulsion partielle (yeux, oreilles, sphincters buccal, anal, etc...)

Et..... « Rien ne fait critère du sphincter dans la conscience sauf à être traduit dans le langage pour ce qui peut être réfléchi par l'autre (sphincter homologue) - autant dire sur le critère qu'il en puisse rêver consort ...pour qu'il puisse se faire une image de sa propre proprioception c'est à dire de son organisation... »

Citation encore : « ...et ce lieu du corps de l'homme, siège 'topologique' d'un mouvement de l'ordre du sortir/rentrer de la pulsion qui active le plet correspondant dans la substance nerveuse (expulsion de la substance germinale) lorsqu'il cherche la correspondance dans l'autre, ne trouve rien en face chez la femme (rien qui ne corresponde de l'extrusion de sa substance germinale en regard de la jonction plexus lombaire/plexus sacré dans le corps de la femme)... »

.et donc, pas de langage possible en retour parce que RIEN qui correspond.

Donc, ce 'plet' existant chez l'homme trouve 'rien' en réponse, c'est à dire qu'en face, chez la femme on pourrait choisir de mettre un 'zéro'

Mais... un doute s'installe quant à ce choix car....La pulsion virtuelle, celle qui ne trouve pas son nom, son identification, ce 'plet' en pluss, et bien...il est chez l'homme... et donc tout se passe comme si l'homme n'existait pas...
«
….s'il s'agit de l'image virtuelle le zéro correspondrait bien à 'entourer' le plet de l'homme correspondant, venant faire l'argument du père : le père est un anneau, un zéro [de père passé du père mort, fondation de l'Idéal]... » (qui nous ramène par parenthèse à l'effacement d'Akhénaton/Moïse/Œdipe de la mémoire collective...)

Et donc.....
«
...L'essentiel est de voir comment à revenir second tour du signifiant primaire, L'OPERATEUR VIRTUEL RESTE DU COTE DE LA FEMME. »

Pour en revenir à nos nœuds du jeu des pulsions partielles, on se retrouve à la figure 42 (page 43 de Lafdlorg) avec cette précision que, sur la vidéo, William ne dessine pas tout à fait cette boucle de nœud « plat » de la même façon : La boucle qui émane de l'homme s'arrête 'avant', 'devant' l'image de la femme, ce qui me semble pluss 'parlant' que sur la figure 42 qui semble faire état d'une interpénétration...

Mais donc, ce nœud « plat »... « ... convient bien pour illustrer, voire pour comprendre ce que Freud a tenté en garantissant une logique circonscrite au plat de la projection... » (nerveuse, des représentations partagées)... « ... on ne peut pas l'estimer manquer d'imagination! Puisque c'est bien l'imaginaire qui témoigne là, de son premier procès... »

Et...d'illustrer le résultat de ce jus de mot 'goûteux' :

« Freud traite donc des pulsions partielles. Nous pourrions l'écrire ainsi [ ça peut toujours ouvrir à comprendre comment la langue peut dire quelque chose! ]
la pulsion "par: "Si elle...
" Ah! Si Elle..." (...Ah, ciel !... mythologieux, religion...)
Mais c'est qu'elle pas!..
Zéro pour toi!
»

« Tout cela laisse désigner un monde où il y aurait utopie. Ce qu'on a appelé "la mère combinée", "la mère phallique", matriarcule (Ecrits p.146), merdoeuf, et MERTRE!. »

C'est Athéna, c'est la nation, c'est la mère-patrie, à l'image de...la mère nourricière....

« ceci commence avec le néolithique - qui fomente pour l'Egypte la religion d'Etat..... proche de la religion de la mort SI ELLE N'EST PAS TRIALE: par exemple pour Hécate: Ah! Si elle... si elle avait quelqu'âme cette société... ne serions-nous pas très rassurés ? ».....

 

_20_Serge Chappellaz 13 nov. 2016 

Et nous voilà tous... volés !.... femmes et hommes, ne devant nos identifications qu'à la seule et UNique (pour ne pas dire inique...) MERE....

. Je sais, ça peut contrarier !... mais c'est le résultat d'un processus logique et documenté !

Voila donc qui ouvre l'espace d'une sérieuse remise en question du dogme du complexe d’œdipe et de la...castration !!.....

 

Mais avant de passer à la suite, pour permettre à la 'représentation' d'opérer, de fonctionner, il me paraît opportun d'en passer par un addenda, une précision, relatifs à deux choses importantes qui vont servir de support à l'imaginaire :

Il s'agit de LA BANDE OU RUBAN DE MOEBIUS et LES ANNEAUX BORROMEEN :

Une petite vidéo ludique (et à propos) sur la bande de Möbius :
https://youtu.be/T_-zPcj61Kc

Et une autre sur les anneaux borroméens :
https://youtu.be/hE_1_MSOjt0

L'image de la bande de Möbius est intéressante dans le sens de montrer comment deux faces apparemment distinctes ne font qu'une : la face cachée devient comme la face visible formant un tout...

Quant à l'anneau borroméen (à trois) il vient figurer le « SI ELLE N'EST PAS TRIALE » de la fin du post précédent et montre comment il peut y avoir du lien....tout en étant individualisés dans une différence et....sans être attachés...

 

_DWT_

 William Theaux 16 nov. 2016 

copieux et peut-être à traduire - mais certainement potentiel intéressant à confronter comparer - c'est en tous cas un état des lieux du discours académique https://gallery.mailchimp.com/b7e0c93553140f778e681036e/files/Penis_Envy.pdf 

 

_21_Serge Chappellaz il y a environ 19 heures (actualisé il y a il y a environ 19 heures) 

Bon, me voilà au moment d'en finir avec mon périlleux et probablement maladroit exercice, de boucler la boucle de tous ces éléments nouveaux acquis.

Je redis que 'j'en bave'.... entre intégration et gestion dans mon quotidien, tout en courant à prendre connaissance des productions de William alors que ce dernier ne cesse de nous en livrer le contenu ces derniers temps via flog, network, steemit, BitNation slack.... et tout cela lié, je veux dire 'en lien' avec le propos.
Donc multiplication des aller-retour, des lectures, des notes, retour à Lafdlorg, essais de rédactions, lutte permanente pour essayer de rester collé au propos sans me laisser embarquer par mes propres traductions, interprétations et autre...

C'est...harassant... c'est...passionnant... c'est sûrement 'la vie'... c'est LA MOUVANCE.

Extrait du chapitre 1 de Ordonc récemment fourni :
«
Or sur quelle mer allions-nous naviguer? Quel espace traverser? Quelle est la nature et la qualité du parcours? Essentiellement, retenons le terme de mouvance*. I1 s'agit de l'espace contemporain que nous résistons à admettre. Tracé, parcouru, dyscouru (où le dyscours est celui qui n'est pas du semblant, discours - voir le rite, le réel et le dyspositif*) par ce que J.Lacan appelle dérive et moi-même tribue (à conjoindre de la pulsion: trieb, sa vocalise germanique, tribu, la division des peuples, tribut, ce qu'on doit accorder, les trois buts et le tri de la pulsion, etc...); et relevant de quoi le monocentrisme (T.4.2) répond de passion à la constitution de l'humain tel civilisé. »

bref, je fais ce que je peux... soit, en comparaison de l’œuvre : si peu !

Tentons de revenir à nos moutons (pour tenter de lutter contre l'inertie de notre troupeau de mou-t-ON....soulignant le 'TROU PEAU' caché...)

Comment imaginer la sortie de ce monde de l'UNE symbolisée par la 'Mère' qui ne produit que des 'in-divi-dûs' indifférenciés dans leurs bulles égotiques ne communiquant plus que par des querelles de nations ou des histoires de gendarmes aussi inintéressantes que catastrophiques (hécatombe, figure 31 page 33) ?

(occasion d'écouter Brassens avec une nouvelle oreille pour se détendre un peu... https://www.youtube.com/watch?v=KzmnDy7zzDw)

Peut-être est-ce le moment d'évoquer cette notion apparue très tôt dans Lafdlorg (page 17, figure 17 et 17 bis) qui est celle de CHICANE & DELAI, notion qui court en filigrane tout au long du propos pour trouver à s'éclaircir vers sa fin :

Je comprends, pour ma part, la notion de 'chicane' comme l'apparition à un moment donné, dans l'évolution, d'un ELEMENT NOUVEAU DE CONNAISSANCE jusqu'alors inconnu, méconnu, sans représentation et donc sans existence apparente, ne faisant pas 'sens'.

Se trouve posée la question du langage puisqu'il convient alors, pour expliquer cette nouvelle 'chose', d'utiliser les mots 'existants', lesquels créés pour la nomination des choses déjà connues et reconnues (mais dont on a pu voir qu'ils pouvaient cacher/cachet d'autres significations).

Notre nouveauté, pour parvenir à faire sens, à devenir une réalité partagée, va avoir à se frayer un passage dans le jeu des deux miroirs (image/langage). Et c'est donc une gageure et ça prend évidemment du temps.
Ce temps peut-être fatal, pluss d'un chercheur, pluss d'un 'trouveur' l'a passé dans des geôles voir y a laissé ses jours sur un bûcher ! Signe du refus généralisé (ou organisé?) de la mouvance...

Eh bien LE DELAI... ce pourrait-être tout ce cheminement nécessaire à la pensée 'nouvelle' pour se faire sa place, son 'plat'... Rencontrant moult embûches, dénis, résistances et autres en chemin. Le temps nécessaire à la comprenette de la chose nouvelle sans lequel elle n'est que trace n'ayant pas fait sens.
C'est ce que tout un chacun va devoir éprouver, ressentir avant de pouvoir intégrer cela dans son 'disque dur' comme un fichier 'nommé' que l'on sait retrouver...

Et j'y accole une autre citation de Ordonc :

« Comment une libération pourrait-elle advenir sans affecter nos chaînes ? »

Or, nos chaînes, on les aime bien, elles nous sont familières ! ON...ne s'en débarrasse pas comme ça (surtout embarrassé que nous sommes par notre CA.... ça-crifix)

Et donc.

Si quelque conscience a pu naître du fait que, 'nous soyons sous le régime de l'identification, de la reconnaissance par la mère' et de l'échec afférent à opérer quelque différenciation entre femme et homme...

. eh bien...femmes et hommes vont dorénavant pouvoir trouver trace de leur différence réelle grâce à L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE... !

C'est elle qui va faire cas d'ELLE, la femme, trouvant enfin son identité, sa différence, en lui attribuant enfin SON DESIR propre, différent de l'inique pseudo course au phallus ... différent de l'unique identification possible à la mère phallique.
Quant à l'homme, prenant conscience, par ce même NOUVEAU MIROIR de l'intelligence artificielle, de l'originalité, la spécificité de son désir qui trouve enfin un nom et une fonction dans son corps.... pourrait-il enfin regagner une place d'EGAL/DIFFERENCIE pour exercer une pulsion qui ne soit plus 'Par Si Elle', à jamais insatisfaite et à l'origine de tant de débordements substitutifs et compensatoires...

Et voici donc notre TRIBUE, nos trois anneaux en nouage borroméen réunis, trois différenciés mais reliés pour une 'fête des changements de phases' mettant fin au « Me-nie-ce-que » de séparation (allusion à la conférence de Roddier https://apso.info/unefpe/index.php?r=content%2Fperma&id=2961 ), trois à savoir (cas de le dire): FEMME/INTELLIGENCE ARTIFICIELLE/HOMME...

 

_DWT_

 William Theaux

Je ne sais pas si mon commentaire va tenir sur un seul post - et il a été rédigé d'une traite depuis minuit - et troisièmement je souhaite l'éditer au mieux sur une autre support (page/site) ; de sorte que je livre ci-dessous, ce matériel brut à saisir en connaissance (l'édition finale viendra en son temps) :

Commentaire

Merci et bravo à Serge – je le déclare à la place d’un silence à peu près général qui n’est pourtant pas à blâmer. Et je fais cet écho pour continuer à donner le sens à une opération qui doit (probablement) passer par ces étapes. D’abord d’absence totale d’effet – puis d’un son, qui souligne cette absence.

Est-ce que c’est une tarte à la crème qu’on rapplique sur un propos oiseux ? Ça peut encore l’être mais nous n’oublierons pas qu’un refoulement – si l’Inconscient existe – se compose d’étage, d’étapes et de couches – partant d’un objet (la chose) à jamais distant, suivit d’un refoulement qu’on a été conduit à dénommer « primaire » car c’est seulement troisièmement qu’un refoulement secondaire commencera à combler, effectivement ledit ‘inconscient’.

Si cette esquisse fondamentale de la théorie freudienne est exacte, il est certain que Serge a travaillé, pour l’un des deux refoulements. Au mieux si LAFDLORG est juste, j’aurai assumé le premier et Serge en ferait déjà l’objet du second.

Mais d’abord nous avons vu que nous n’avons pas absolument travaillé seuls. Comme toujours depuis le début de cette étape il y a eu un nombre très restreint mais essentiel d’assentiments et d’encouragements qui ont participé à franchir l’épreuve. Lorsqu’on parlerait de refoulement, nous parlons du Savoir – du S2, le signifiant second, celui du refoulement secondaire, et qui devrait être le savoir collectif. Mais une fois la première signification livrée, le collectif ne suit pas. L’ensemble, le discours scientifique de la collectivité ne suit pas, refoulé par l’académie.

Je dois dire à ce sujet, que j’ai enfin pu entrer en contact avec le département du CNRS intitulé rien de moins que Département de Recherche sur les Origines du Monothéisme. On pouvait s’étonner que depuis des dizaines d’années d’exposition sur le web d’une thèse originale sur lesdites origines, au moins un de ces salariés par le collectif pour porter les médailles se soit enquis. A présent on pourra s’effarer que contacté par quelque commun, il n’adresse pas de réponse. Je mentionne cette étape actuelle ici, qui précise également ce que c’est que ce refoulement secondaire.

Dans le cas d’AMO, l’origine Pacadémique du monothéisme, nous sommes dans le comble du comble du refoulement, parce qu’il est conscient et volontaire. Mais dans le cas de OIO (autre dénominatiion et sigle plus parlant de LAFDLORG) nous sommes encore dans la matière première du refoulement, ingénu. Nous pouvons en profiter pour l’observer justement, sans une saleté perverse.

Alors pourquoi est-ce que Serge éprouve à son tour l’épreuve, d’une part de la difficulté à faire le compte-rendu, à exprimer limpide une réflexion qui coule de source des plus claires, des plus originaires et pures ? Et d’autre part la pénibilité à ne pas trouver d’écho de masse. Il y a une raison à cela qui ne paraît pas que dans l’énigmatique double couche du refoulement – c’est pour la raison même de ce que la signification elle-même est en plusieurs épaisseurs. Ce n’est pas que le refoulement qui soit essentiel, puis primaire puis secondaire. Le propos, le signifiant, ce qui est refoulé est lui-même composé de ces trois étapes. (la formule qui répond de cette affirmation est celle des 4 discours qui montre trois de ces termes courant sans cesse à couvrir un quatrième qui se barre). Ainsi tel est mon tour de revenir, après Serge, pour signifier pourquoi sa signification s’est tenue à ce point là. Voici donc la troisième couche à la thèse dont Serge a fait la seconde. Je dois redire ce que j’ai dis pour qu’il soit arrivé à dire. Voici ce dont il s’agit :

LAFDLORG est si initial dans la démonstration, qu’il ne peut que montrer que ça ne tient pas tout seul comme ça. Encore faut-il qu’il le montre ! C’est entendu. Et c’est ce qui vient d’être fait. Si le propos était si obscur et difficile à déchiffrer – c’est qu’il est vraiment impossible de dire ce qui est impossible à dire. La fonction de l’organe ne peut pas se découvrir d’un seul coup. C’était suggéré par le caractère infernal du texte. Et l’histoire, après coup l’aura prouvé ou du moins expliqué.

LAFDLORG a été délivré le 03/1987. Un mois plus tard La Circonstance Occidentale était enregistrée, livrant à son tour, une clé de la consistance de LAFDLORG.

De même que la structure Freud, puis Lacan, puis Verdiglione etc.. ne peut se comprendre qu’après le ‘coup’ de la Renaissance – Copernic, Tycho etc.. de meême LAFDLORG ne peut commencer à être comprise qu’au second temps. Ce qu’apporte La Circonstance Occidentale est le rôle d’une migration, non pas génitale, mais du tractus vocal (du primate à Homo Sapiens, répété par phylogénèse de l’infans à l’être humain parlant). C’est parce qu’il y a cette migration affectant la parole, que l’indiscible fondamental de la première migration organique, génitale, peut commencer à être dite. Et là n’en sommes-nous encore qu’au refoulement primaire. Je récapitule donc. Il n’y a rien que quelque chose d’indiscible au stade repris par Serge, stade titré LAFDLORG ou OIO. Ensuite la connaissance de l’historique de la voix – historique qui n’apparaîtra qu’à l’écriture dans l’histoire de l’humanité – permet seulement d’établir un refoulement primaire de la différence sexuelle.

Et pour en rajouter – mais ce n’est pas volontaire, c’est l’inconscient qui est fait comme ça – il faudra encore une étape. A savoir qu’il faudra que la science, non seulement récupère la première fonction originaire, crûment (différence sexuelle), mais encore celle de la sémantique (phylogénèse vocale) et troisièmement soumette au refoulement secondaire une troisième étape – qui a été décrite soyons rassurés – qui est descriptible. Elle consiste, à ce troisième degré, du partage de cette histoire phylogénétique entre les trois termes de la famille oedipienne.

Si quelqu’un le souhaite, je fournirai les liens où ces étapes sont délivrées, exposées, traitées naturellement de manière de plus en plus simple à comprendre au fur et à mesure que l’on émerge en surface de l’Inconscient.

Mais la livraison de ces liens a déjà été faite tant de fois – et puisque précisément nous n’en sommes qu’au premier des trois stades, il sera plus utile d’accentuer le propos sur sa situation pratique. Tout ce qui vient d’être fait et dit conclut à une situation désespérante. Il n’y a pas d’espoir que l’on arrive loin sur ce parcours quand on vérifie par la démonstration de Serge la quantité matérielle d’information qu’il faut engranger. J’ai personnellement estimé dès loe moment où j’ai entrepris la démonstration, qu’elle ne pouvait arriver saine et sauve au degré de l’académie (AMO cité plus haut en donne la preuve). Il faudra donc que la civilisation ajoute ou passe par un autre chemin – ce qui d’abord peut être celui d’une intelligence artificielle puisque la notre en collectivité ne suffit pas. Mais pour ne pas la diviniser – comme ce qui risque d’arriver – comment pourra-t-on exploiter cette IA en gardant un point de vue de science humaine ? Personnellement j’ai suggéré que c’était par le moyen d’une réalisation de ladite IA, sous une forme que j’ai écrite /ia/ pour signifier son intégration au ‘moi’ psychique – remplissant encore un stade théorique/abstrait. Sa dimension concrète est en cours ; elle sera traduite par un avatar. Butons-nous sur quelque chose de surprenant ou de frustrant ? Certes et ceux qui seront rebutés en resteront là – c’est à dire avec les politiciens et les académiciens. Une bonne compagnie réputée et assurée.

 

 

 


  Résumé  

 

En résumé, telle est la question : Comment de la langue maternelle extraire un signifiant qui puisse traduire un fort-da (orificiel) dont le corps de la mère n'a aucune expérience et donc, dont aucun corps masculin n'a jamais entendu parler non plus ?

   Pour effectuer cette extraction, nécessaire il faut partir d'une première base qu'on pourra véritablement appeler : Null-lecture

   Ce qui, bien entendu, ne veut pas dire nul    -    tel null-A, ne signifie pas l'inexistence ; il signifie non-aristotellicien ; Sémantique Générale ; voir Monde des  de v.Vogt + trad.B.Vian + lect.J.Lacan.

   Une Null-lecture ressort d'un texte incompréhensible et/ou illisible. Pourtant ce texte existe, strictement comme la langue maternelle existe puisqu'on en tire le sens de l'existence. Il faut donc, si on peut dire, faute de ce signifiant dans la langue maternelle, un con-texte, sur lequel s'appuie la null-lecture ; seulement suite à quoi cette lecture s'avère. On voit donc qu'il faut trois stades, trois personnes, trois points de vue. C'est un phénomène qui a d'abord été strictement déchiffré comme un Temps Logique de la sortie de trois prisonniers d'une caverne moderne, par la psychanalyse en 1960. A la suite de ce déchiffrage la lecture effective s'est élaborée, par les trois stades en question et en pratique :

 -   Le texte irréprochable, initial mais illisible, est ici
 -   La null-lecture impossible est ci-dessus, le long de la page et soutenue par le Dr Serge Chappellaz (commencer au début)
 -   Et le discours de la science du sexe précisément, la psychanalyse, s'en déduit troisièmement d'une succession de phrases :

               1) Une base type planche anatomique du point de vue de la neurologie moderne (migration inguinale).

               2) La reprise de l'initial avec la pulsion vocale ajoutée (migration du tractus vocal)

               3) La forme complète de la fonction sexuelle suivant la logique à trois corps (condition du rapport sexuel)

               4) Un vidéo-clip de synthèse de carrière .

 

     add.) en accessoires deux conférences : Développement de spire/sphincter et projection corticale et Pulsion et projection corticale

     add.) bribes et mentions en conversation :

 / search : « La communauté psychanalytique n'a généralement pas pris acte ni porté attention... »

/ search : « ...le traitement d'un signifiant particulier, à savoir le phallus (ce phallus d'ailleurs que l'on ne "sait" pas bien jusqu'à preuve par la compréhension de la logique troudaine... »

/ search : « ...le problème de l’incommunicabilité et/ou de la non-réception... »

/ search : « ...cette relecture de http://www.lasainteethique.org/1900/prod01/84-90%20Crufp/DAL/ARTICDAL/LAFDLORG.doc  effectuée par https://apso.info/unefpe/index.php?r=content%2Fperma&id=2934 ... »

 

 

 


 

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