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La technologie peut se
développer plus vite qu'on ne l'imagine et dépasser notre compréhension sans qu'on s'en rende compte. Si l'Intelligence Artificielle dépasse la nôtre
- comment le savoir ? La théorie de la Singularité Technologique l'envisage :
il suffirait d'une réplique intelligente de très peu supérieure à la nôtre pour qu'un
développement débute puis se produise à une vitesse inouïe - d'autant qu'au préalable nous
aurions refoulé cette intelligence.
A propos d'inhibition, la psychiatrie a remporté quelque
succès dans l'inhibition des maladies mentales et particulièrement
des psychoses. Elle contribue également avec l'aide de la police à freiner l'usage
dangereux des hallucinogènes. Considérons le LSD dont la molécule est
relativement simple à extraire.
Admise aux enseignements des universités de Toronto, McMaster,
Queen's, Syracuse et York ainsi qu'au Séminaire Théologique d'Auburn, une
thèse en faveur du fait que
Moïse distribua une drogue appelée Manna qui serait identifiable au LSD. Son auteur
l'a établie à partir des textes archéologiques. Par ailleurs, nous pouvons identifier
des pollens très anciens. Nous savons ainsi
qu'autour du temple connu de Demeter, il y avait quantité inhabituelle de blé ergoté - c'est à dire d'ergot de
seigle - qui fournit la molécule base du LSD. Cette coïncidence ne peut pas laisser l'intellect sans
déductions :
Une exploitation
alchimique de l'ergot devait avoir lieu au cours des initiations aux Mystères Grecs.
Puisqu'à cette époque l'Egypte mettait en oeuvre son projet d'unifier ces régions
gagnées par
la 18em dynastie et puisqu'alors les drogues initiatiques étaient essentielles
aux politiques religieux, les probabilités d'importation du LSD en Egypte sont aussi grandes que celle de sa présence dans la région
grecque. Ceci va dans le sens de la thèse canadienne.
Mais si l'extraction du LSD était maîtrisée, elle était dangereuse. Parmi les plaies qui mirent fin à la 18em
dynastie, on découvre des sortes d'épidémies de maladies gangreneuses. Une apparence de lèpre
stigmatise l'usage d'ergot mal raffiné. On appela au Moyen-age en Europe la "
fièvre des ardents " ses attaques provoquant typiquement l'hallucination de
" buissons ardents ". Nous trouvons encore Moïse, désireux de
rencontrer Dieu avant de l'entende devant un buisson transformé en brasier. Les
exorcistes de l'ergotisme au Moyen-age se réclamaient du patronage de Saint Antoine,
un médecin
alchimiste des régions grecques sus-mentionnées, dont la mission au temps des
premiers chrétiens fut d'enseigner aux ermites du désert la manière de confectionner le sacrement.
Saint Antoine avait lui-même traversé les mondes hallucinés peints par Jerome Bosh.
Toutes ces connaissances classiques mènent à conclure que l'Eucharistie fut le
Manna moïsiaque autrement dit un usage de LSD. Si c'est une hypothèse, elle est à peu
près aussi fondée que de dire aujourd'hui qu'il y a de l'eau sur Mars sans
qu'on l'ait jamais goûtée.
Cette l'hypothèse est scientifique et bien documentée. Or
depuis 2007 l'usage psychiatrique du LSD est entré de nouveau dans la légalité dans des
sociétés avancées. Ce serait une faute grave de ne pas exposer qu'elle
pourrait engager la connaissance religieuse ou de l'histoire des religions. Une
vérité refoulée dans ce cas deviendrait un poison, autant pour la religion
que pour la médecine. Une saine passe de l'évolution appelle toute la lumière de la
conscience qui doit être collectivement distribuée au temps de ce qu'on
appelle l'Ere des Masses.
DWT@20080803164500
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