De: Emmanuel Herrscher <emmanuel.herrscher@gmail.com>
à: William Theaux <williamtheaux@gmail.com>
Date: 21 juillet 2014 21:48
Objet: Pallas Athéna gaza qui ?
Oh oui, genèse du Parthénon Penot !
L'Egide en peau de chêvre Amalthée.
Ton immunité pour ne pas étouffer au Puy...
Où Jehanne la Pallas vint rendre grâce à Dieu de la victoire contre les
Angloys.
Bref, l'invisibilité numérique ne peut-être que théauXlogique.
Science-fonction et non-A-technologie ?
Came Hera et matrilinéarité dans la
suite des aventures conjugales de Zeus.
Syracuse levez-vous : Nouvelle-Calédonie, colonie pénitencière de la
France...
Quelle est la capitale de la Haute Loi ?
Qui est le séducteur, le tombeur d'Hélène ?
Bien, ce douzième coup de Lascène en
léger difféérique !
Duras... Nevers for ever.
Cette phrase d'Hiroshima mon A a éclairé ma jeunesse... à peu près :
j'ai une morale douteuse, c'est à dire que je doute de celle des autres !
Il est question d'Aton dans le monde des
non-A ? Je ne m'en souvenais pas.
La fuite au prochaine épis ode ?
De: William Theaux <williamtheaux@gmail.com>
à: Emmanuel Herrscher <emmanuel.herrscher@gmail.com>
Date: 1 août 2014 11:21
Cher ami Trubiticien !
La règle des deux premiers mercredis m'a laissé un peu
de répit ce mois-ci ; mais bientôt le rythme va reprendre en
redémarrant ce six (août) par le treize. C'est à vrai dire le quatorz(ième
chapitre) qui reviendra strictement à Syracuze. Mais rien n'empêche d'en
parler avant.. d'autant que j'ai les fourmis depuis que j'ai
archéologisé la colonie sicilienne. Je n'étais pas bien averti
auparavant ; c'est le charpentage, l'arpentage par chapitres, de Lascène
qui m'a fait fouillé la zone, après que je me sois mis à lire, je ne me
souviens plus pourquoi, La Septième Lettre de Vintila Horia.
Par ce resouvenir je vais essayer de répondra à la question
de la présence de
Aton dans Le Monde des non-A - parce que.. non,
précisément non, il n'est pas « question d'Aton dans le monde des
non-A » ; et il n'est pas question d'Amon non plus dans la Fondation
d'Asimov (quoique je n'ai pas lu tout Asimov ni même toute l'histoire
de la psychohistoire de Fondation). Je profite de l'opportunité
d'écrire de la "science fiction.." . Cette véritable science
s'inscrit dans ce qui manque. Notamment non seulement s'inscrit-elle dans
ce qui manque dans l'académie - maison du semblant, aka (also.known.as)
du Ka démis - mais dans ce qui manque à la science-fiction. Cette
nouvelle science, fonction de l'environnement clinique en perpétuel
évolution, relève par conséquent qu'autant l'académie ne parle-t-elle
d'Aton qu'en le refoulant ainsi l'historique science-fiction de la saga de
Campbell fait-elle état d'une psychohistoire.. sans histoire, sans passé
(sans pas-c'est). Le psychohistorien Seldon ne regarde que le futur.
Enfin.. c'est mon point de vue, c'est la caricature que je fais de la
science-fiction. En tous cas, c'est net dans Le Monde des non-A, où Vogt
ne parle même pas de Vélikovsky et n'exploite pas ce qu'à son époque
il pouvait utiliser, de cette transformation de Ishtar en Vénus de l'Ages
in Chaos.
Donc que je fasse insurger Bjop dans Lascène en supporter d'Aton
(une notion qu'il aura retenu du STAF comme le redira l'ingénieuse (si je
ne l'oublie pas)) est une manière de dire que son non-A était pas moins
non-Aton.
Absence que je corrige donc.
Et en effectuant cette recouture (de 'recoudre'.. (tu notes,
j'effectue de plus en plus de néologisme, non par shizophasie et démence
précoce j'espère, mais par militance contre la charia ^_^ )), j'ai
repris le fil d'Ariane et je l'ai fais passer par Syracuse.
Donc en deux mots, et pour me préparer - petit tour de
chauffe.. ; pour compléter la suture, voici l'impression que j'en ai
tiré :
Athènes à la fin d'éteint, comme une super nova, elle
projette un flux, de part et d'autre autour d'elle et vers la Sicile comme
un tsunami de débris. Arrivent donc à Syracuse des bibelots.
L'archéologie les retrouve en vrac ; certains précédant les autres,
elle peut les remettre en ordre : Simonides avait préparé ça lors de
quelques visites, racontant son histoire de Scopas, c'est alors Hiéron
qui invente la "première police secrète". Que ce soit une
action bien tyranique répond bien de la réaction dont un tyran en herbe
peut faire preuve en entendant l'Art de la Mémoire. Hiéron à ce titre
sera poursuivi, plus tard par Hiéronymus, le tyran de la mise en machine
(d'Archimède). [ nous parlerons du hiéronyme et de ce qu'il y a de plus
sacré (hiéro) entre glyphe (trace) et nyme (nom) ] .
Juste après nous trouvons parmi les bibelots, l'oreille de
Denis. A n'en pas douter (du genre écoute douteuse de l'écoute des
autres..) Denis s'invente l'oreille à l'écoute de Platon qui lui raconte
que dans sa caverne les prisonniers sont impressionnés par des sons,
proférés par les porteurs de figurines à la bouche de la caverne et
réfléchis & concentrés au cœur de la caverne (qu'ils interprètent
comme les âmes des ombres).
Et deuxièmement juste après, c'est ce phénomène de
réflexion concentré qu'Archimède exploite pour faire avec ces miroirs
une chaleur réelle - que Lacan reprendra en bricolant son image réelle
à la même place au cœur de la caverne, conjoignant image et son.
Tels sont les bibelots ; que les mécaniciens ensuite vont -
dès l'époque du Hiéronymus jusqu'au Modèle Optique - bricoler -
finissant par faire, comme à l'aveugle une machine cybernétique et
opérateur de surveillance panoptique etc...
Voici un bref rapport de dates (et notions à étoffer
simplement avec wikipedia, ça donne assez )
projet de note du chap.14 (oreille de Denis
à G et four d'Archimède à D)
|
10 : Durant la jeune
Athènes, Simonides de Céos vint à Syracuse finir sa vie à au sortir de
l'Âge Sombre. Sa découverte de l'Art de la Mémoire dans la compagnie de
Scopas devenait une prophétie. Car son art procède d'une extraction. Il
le découvrit dans la quarantaine, quand il vivait en Thessalie, au point
G de la mer Egée ; puis quand il avait 70ans il vivait au lieu de
l'extraction où il réconcilia les tyrans Hieron et Theron en les faisant
reconnaître comme Castor et Pollux. À Syracuse Simonides réalisant en
acte la théorie qu'il avait conçue plus jeune - le Banquet d'Athènes
s'était écroulé depuis la mort de Socrate - et il revécut sa scopique.
En effet, l'Oeil de Scopas était renouvelé avec la création de la
première police secrète de l'histoire, attribuée à Hieron - à la
surveillance duquel Simonide répondait de sa première souveillance.
Ces termes construisirent Lascène que Tyresias écrivait
pour l'histoire, puisqu'au siècle suivant Denis matérialisait à son
tout l'Oreille de Platon - décrite dans la résonance de la Caverne qui
porta alors le nom d'Oreille
de Denis, tandis qu'un siècle encore de plus elle prenait la forme
des miroirs d'Archimède
que Lacan réintégra au Modèle Optique - l'homme au pouvoir qui régnait
sur ces dernières machines était Hiéronymus. Une brève table
chronologique présente ceci :
556
– Simonide
468
526
Eschyle
456 a
478 467Hieron (première police secrete)
514Scopas (l'Art théorique)
488Theron
400
Socrate
432 | 367Denis
(l'oreille de Denis)
|
356Dion
|
215Hieronymus
|
287 212Archimède (Le Miroir
d'Archimède)
|
|
Ouf ! quel effort pour ce matin de vacances !
Bien à toi
Will
PS : je mets ce/ces posts sur une page littérature grise sur site,
tant pour la meilleure des qualités de format que pour la conjonction
avec un intérêt commun de Emmanuel/Ollivier |