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Lascène |
http://www.psybakh.net/2014/20131001182800/lascene_c1g.htm
20140521094500
De: Pierre Cassou-bogues Merci je regarderai votre vidéo. |
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Cher Pr. PCN, J'ai hésité avant de vous adresser ces notes - mais d'une part rien ne justifie de les retenir et d'autre part elles comportent quelques questions simples et rapides que je mets ici en tête : La première des notes/renvois de votre Les
Rêves Cybernétiques de Norbert Wiener mentionne un article de
NW écrit en collaboration avec D.Campbell. Je suppose - mais
je souhaite le vérifier - qu'il s'agit d'un autre Campbell
que l'éditeur d'Astounding Science Fiction dont la légende rapporte que
lui & NW furent amis. Dans les deux cas qu'un Campbell soit cité en
première ligne est intéressant, particulièrement dans votre livre,
puisqu'il s'agit d'un rapport de NW avec la science fiction. Une seconde question reprend l'allusion que je vous ai précédemment adressée concernant la mention de D.P.Schreber au titre des cas cliniques de Freud concernant les machines (du père) et la religion (de la femme) ainsi qu'au titre des similarités et relatives éducations que DPS et WN reçurent. Cette question aborde plus en profondeur votre texte mais elle émane toutefois d'une singularité anecdotique. J'ai par bonheur correspondu avec Pr Robert.Gilbert.Vallée (message 01 et suivants) , président du WOSC que les niveaux, lieux de vie, universités, centres d'intérêts etc.. approchaient tant de Lacan - et réciproquement. Or ces deux contemporains ne se sont jamais rencontrés et n'ont jamais communiqué. Ce fait est tellement invraisemblable qu'il ne peut être classé que parmi les symptômes d'un refoulement. Appuyé sur une telle formation de l'inconscient je souhaite examiner si elle s'est répétée dans votre étude du cas NW (et si un scotome a caché DPS à vos investigations). & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & & Une fois ces deux questions posées, je continue la présente par des notes et commentaires plus épars durant la lecture de votre livre. J'aurais pu les rassembler une fois cette lecture achevée - motif de mon hésitation - mais j'ai opté pour une écriture plus floue mais plus dynamique, d'autant que cette "lecture en cours" croise également mon "écriture en cours". Elles procèdent donc dans les forges d'une Littérature Grise à laquelle, je pense, une étude de la cybernétique est particulièrement appropirée. Je commence par une remarque dans l'ordre d'une "étrange coïncidence". J'ai fait connaissance de vos travaux par le hasard des ondes radio. Ils traitent de NW et de la science fiction. Je traite de la science fiction à partir de NW. Vos recherches ont distingué un texte de NW mettant en scène la disparition d'un savant, dans ou par, un groupe de savants. Mon texte met en scène la disparition de NW d'un groupe et par un groupe de savant. Il est aussi question de changements de nom dans l'un et l'autre des textes. Le texte de NW est initialisé par la découverte d'une formule griffonnée - et mystérieuse - sur une nappe à la terrasse d'un café ; le mien est initialisé par l'écriture d'une formule sur carnet à la table d'un café. Dans les deux cas la formule mène à la clé de l'énigme. Au moment actuel où je suis en train d'éditer le neuvième chapitre des dix-huit de mon texte que j'intitule Lascène, la découverte du vôtre et de celui de NW est évidemment frappante. Mais une coïncidence n'est pas toujours féconde en soi.
Il n'y a peut-être rien de plus à dire que de remarquer ces
rapprochements. Il est possible qu'il ne vaillent que pour leur qualité
d'indice à approfondir d'autres éléments. a) une approche et position de WN à propos de la responsabilité du savant (vis à vis de la guerre et des armes). Vous n'avez jusqu'à présent relevé que la solution du retrait du pouvoir qu'aurait envisagé NW. Dans Lascène je montrerai que toute la cybernétique, inclus les idées amenées par WN, débouche sur le mouvement inverse, c'est à dire la marche en avant des scientifiques pour prendre le pouvoir. Si les travaux scientifiques sont capturés par les militaires, la solution pacifiste consiste à capturer les militaires. Pour un cybernéticien cette capture ne peut être que l'œuvre passant par une "machine à gouverner". Mais votre livre m'éclairera probablement avec plus de précision au cours des pages ultérieures. b) une note concerne aussi la responsabilité ou la "relation" que vous indiquez à l'appui de Gödel (p.21-22) : l'objet de Gödel, tel qu'il « le considère et le pratique » (en l'occurrence 'la logique'). Vous relevez que « les mêmes éléments déterminent ses comportements et ses recherches.» Il y a lieu de mentionner en première instance cette structure également nommée " extérieur-intérieur " car on la retrouvera avec Freud dans le cas qui nous intéresse. Pour Gödel, nous avons « une unité entre les symptômes de Gödel dans la vie et son interprétation de la logique.» Avec Freud nous observerons que cette unité a lieu avec pour objet la drogue. Ce n'est pas d'un point de vue idéologique ni même de médecine/pharmacologie que je le mentionne mais parce que la molécule chimique dans ce cas est une interface caractéristiquement cybernétique. c) & d) il y aura évidemment Le Cas Schreber qu'au fil des pages je traquerai (n'ayant pas relevé dans vos notes/bibliographie la présence de cette fondation freudienne) & j'appliquerai une vigilance également concentrée à l'apport de Lacan. Mon survol l'a relevé au motif " du moi dans la théorie de Freud " mais comme avec R.G.Vallée mentionné ci-dessus, je crois qu'un rapprochement Lacan-Wiener doit plonger jusqu'à celui de Lacan-Turing et scrupuleusement rapprocher le Traité de Cybernétique initial à la carrière lacanienne bien que lui-même l'ait éludé... remarquablement. url = http://www.akhnaton.net/2014/lascene/lascene_c8g.htm#20140521094500 |
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20140524103100
Cassou ne me répondra pas ; voici pourquoi : il est assez probable que PCN n'ai pas entrepris lui-même une psychanalyse, mais surtout très probable qu'il s'est instruit pour ses travaux, de la théorie lacanienne par le truchement d'un groupe d'étude constitué de psychanalystes lacaniens - nommément ou une sorte de Cartel, par exemple. Or cela indique - signifie quant à moi - qu'il est infecté par le refoulement dudit lacanisme. Infecté n'est pas un mot trop fort, mais il est affectivement embarrassant, de sorte que je l'accommoderai en d'autres termes : s'il me parlait je dirais à Cassous «c'est un fait qu't'es instruit par le refoulement de la clé» Voici le délinéament de ce refoulement que je sais de la part des disciples de Lacan : Je l'ai, côté PCN, détecté très tôt, pour ainsi dire immédiatement à l'audition de l'émission radio initiale ; et j'en ai quelques jours plus tard informé PCN - je détectais et, par un message où en vidéo je mentionnais l'absence du Cas Schreber dans son exposé du Cas Wiener. Il a répondu qu'il verrait bien. Puis ayant reçu ses livres (sur Gödel et sur Neiwer) j'y
ai appuyé mon observation cette fois-ci rigoureuse de l'omission de
Scherber - tandis que son cas, principal à la théorie lacanienne de la
psychose est fort connue des cercles lacaniens. Si par conséquent lesdits
cercles n'ont pas instruit PCN de l'attention à porter à Schreber -
typique d'une éducation "à la machine" - il est certain que
c'est de l'engager dans le refoulement que j'appelle ci-dessus refoulement
de la clé. Il est attendu qu'on suive simplement, honnêtement, le
chemin ménagé par PCN ; nous le suivons en effet au cours de la
description des trois degrés d'élaboration de la cybernétique
lacanienne : le premier du Stade du Miroir, le second de Moi Imaginaire et
le troisième où il s'échoue, ou "explose" - c'est à dire à
partir du moment où il ne parlera plus de cybernétique. Ce que Cassou appelle la troisième machine de Lacan consiste en l'étape dite "au delà du principe de plaisir". À la différence de ce qu'offrent les deux premiers degrés, il n'est pas possible de décrire ou comparer ladite troisième machine - puis le troisième degré assiste à son absence ; on ne peut donc que la signaler, suivre sa description telle que la machine se défile, parle et disparaît comme un sujet.. barré. C'est pourquoi Lacan débouche, dans ce dénuement d'objectivité, à l'hypothétique pulsion de mort, évoquant le « plus dangereux que la bombe atomique » et s'appuyant au mythique Thanatos dudit Sigmund Freud. Quant à PCN il constate que la « référence explicite - de Lacan à la cybernétique - disparaît dans les années ultérieures », et sans pouvoir apporter lui-même de situation, description ou comparaison d'une prétendue troisième machine, il n'en fournira pas non plus - c'est à dire effectivement retournera à sa question répétitivement posée au motif de son essai (Les Rêves Cybernétiques), revenant aux " racines imaginaires " qui préambule, de Wiener à Walter à Lacan (clôturant à ce stade le chapitre des "aventure apocryphes de la machine cybernétique"). Voilà pourquoi je dis que PCN régresse, qu'il ne trouve
pas la clé. PCN compense la désintégration lacanienne au seuil d'une
distinction troisième d'une machine cybernétique, d'une part en
faisant appel aux lacaniens et/ou leur dérivés. Suturant l'échec
lacanien que l'on dira sommairement " de coupures, code et
d'à-côté " cette restauration de l'honneur de la communauté
intellectuelle de ses instructeurs, lacaniens, PCN passe alors à sa
propre compensation qu'il titre « La mort du soleil » : Il est appelé, doublement, du fait du titre - La mort du Soleil - et du contenu - la suppression de l'humain « composé d'une âme et d'un corps » - puisque le délire du Président Schreber est celui du Soleil et du meurtre des âmes. PCN mentionne une « sorte de meurtre » et apostiche d'un « je ne sais pas » l'origine du « thème de la mort du soleil ». Puisque nous avons vu briller dans le ciel des racines imaginaires l'absence du Cas Scherber, nous découvrons un lien ferme de cet indicateur du refoulement à la porte ouverte à présent vers ce qu'il indique. Il suffit de faire passer ce lien à travers cette béance pour qu'il nous mène comme un fil d'Ariane à la clé refoulée par le cartel lacanien dont PCN la victime a été privée de s'en instruire. Par quelle occasion le lacanisme bée d'une avidité non satisfaite par la source de Lacan lui-même ? C'est l'occasion Schreber. Le philosophe mathématicien cybernéticien PCN le dénonce par l'omission du cas qu'il rapporte de son apport. Lui, PCN, a porté la machine cybernétique à la psychanalyse du lacanisme pour question ; l'apport des lacaniens en réponse a manqué de lui souligner la coïncidence de leur cas majeur (le Cas Schreber) avec la machinerie éducative. PCN s'y est porté avec la notion que le père était engagé dans cette cause (de machine cybernétique, apprentissage et éducation) ; le cartel lacanien n'a pas fourni le cas où résidait leur clé. Nous pouvons à présent la donner : - Premièrement le lien du Schreber à la machine cybernétique (apprentissante/torture)
est évident, manifeste, énormisé au demeurant qu'il aura fallu qu'il
soit rappelé par l'anti-psychiatrie tandis que ni Freud ni Lacan
n'avaient voulu s'en alerter. J'en suis à la page 122/263 de la lecture de Les Rêves Cybernétiques de Norbert Wiener / Pierre Cassou Noguès. A ce stade j'ai vérifié la manière dont PCN exploite l'information lacanienne. J'ai indiqué présentement ce que je vois manquer et la déduction que j'en puis tirer. La suite dira si l'hypothèse à ce stade sera soutenue ou finira caduque. DWT url = http://www.akhnaton.net/2014/lascene/lascene_c8g.htm#20140524103100 |
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20140525110700 À présent arrivé à
la page 180/263, j'ai accumulé dans les marges du livre un certain nombre
de notes que je vais à présent commencer à développement
successivement, visant à terminer, et les notes et le livre ensemble dans
quelques jours. Je commence donc dans l'ordre par la première : Les pages suivantes amènent la suggestion de PCN qu'il y
aurait de la femme à chercher sous l'activité du mathématicien, menant
jusqu'à la p.69, où suffisamment de matériel arrive au moment de poser
une note : |
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20140528085000
Le chap.4 "Visite chez Dr Freud" conclut à
fixer un nom à ce qui loge sous l'activité (mathématique) : un
« fond imaginaire » qui paraîtra le leitmotive de la vision de
Cassou. Il sort de ladite 'visite', riche de pouvoir comparer au chap.5 ce
qui le titre "Travail eu Rêve et du Mathématicien". Ce
cinquième chapitre épaissit le manque de référence à Schreber dans
l'équation <père-fils-machine> que pose Cassou. À la connexion -
l'inhibexion - susdite du conceptuel génétique, il prête
à l'évocation de deux items pareillement " inhibexés " mais
ici du praxique : a) les formules de R.Vallée propres à renseigner le
travail hypnoïde (en remplaçant le terme « symbolisme improvisé » de
Wiener par celui d'un « (symbolisme) inverse » - mais je ne sais pas
pluss si Cassou connaît le président du WOSC,
au point où on en est de lacunes de connexions. b) également la
référence à l'Hermétisme - le parties des Hermetica consacrées à la
relation créateur-créature, posées en création
père>fils>machine p.95. |
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20140528093944
Une sorte d'apothéose a lieu dans la séméiologie dudit
refoulement lorsque dans les "aventures apocryphes" (chap.6)
Cassou sillonne la dure cybernétique de la psychanalyse lacanienne. C'est
là où l'on trouve le thème de la mort du soleil - examiné ci-dessus.
Il convient d'ajouter - ce que je fais ici - l'énorme indicateur du
manque en l'occurrence. Formé sur l'enseigne lacanienne, des références
au Symbolique et à l'Imaginaire sont exploitées par Cassou, qui se fonde
à y ajouter la Machine Désirante des élèves lacaniens - sans qu'il
fasse référence ni ne prononce le mot "réel" (grosso modo
absent de tout le livre - comme on verra "ADN" également
absent) qui est la troisième composante, ajoutée par Lacan à Symbolique
et Imaginaire, pour que ces deux-là prennent sens. L'énormité de
l'omission est équivalente - on peut probablement dire 'identique' - à
celle de Dawkins omettant Y dans sa memetique. C'est donc une tache lacunaire - le trou d'une tache arrachée, une lagune (re.ci-dessus) - vis à vis de quoi je débats la lecture de Cassou. Comme la lumière qui croit aller tout droit autour d'un trou noir, l'auteur des Rêves va tout droit - on dira bientôt, dans ses bottes. Car il évite - le mot n'est pas trop fort - ce qu'il cherche. C'est la notion de Réel que l'on voit apparaît dans ce creux, avec Cassou et les compères lacanoeux qui dansent autour - manifestement, notion en insuffisance d'éclairage. C'est à la page 110 de ce chapitre - qui porte bien son nom d'"apocryphe" par conséquent - que l'on trouve l'indice é-mentionné propre à livrer l'accès de la quête. S'il ne mentionne jamais le Réel, Cassou s'en prive l'accès en omettant quelque chose qui dépend de lui d'abord ; en effet, faire cas du « la machine moderne est un symbole construit » sans parler du débat qui a accompagné la machine de Hiéronymus, c'est s'interdire d'estimer le Semblant - que Lacan a tard reconnu comme l'attache dudit Réel à l'Imaginaire et au Symbolique. Puis sur la même page 110 on observe à nouveau comment Cassou en est privé, mais cette fois-ci par ce qui dépend des lacaniens : l'assimilation de l'ADN. Certes le mathématicien philosophe aurait pu à lui seul, mais à l'aventure, contempler les changements provoqués par l'introduction de la génétique dans la " machine acéphale " - mais Wiener non plus parce qu'à sa machine personne manque ce que seule la psychanalyse peut fournir : la symbolique dite du Nom-de-Père au caractère de la génétique. C'est cette interdiction que Lacan s'est faite à lui-même (indiquée ci-dessus) - strictement identique à l'interdiction que Freud s'était faite à s'attacher la corporéité historique d'Oedipe/Akhnaton-Moïse - dont le défaut du lacanisme charge Cassou, dès lors sans légitimité pour traverser le "meurtre d'âme" de Schreber et ne pas se renverser dans la "mort du soleil". url : http://www.akhnaton.net/2014/lascene/lascene_c8g.htm#20140528093944 |
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20140530084100
Je n'ai plus grand chose à dire - ou trop - le reste du
livre semblant confirmer les idées initiales, ou l'on dira : soupçons :
principalement on découvre en sautant le faussé du manque, que c'est en
résumé quelque chose qui a à voir avec le clone - la fameuse horreur du
double absolu du modèle génétique.. dont le livre de Cassou qui parle
de la machine en double ne parle pas du tout.. ^_^ url : http://www.akhnaton.net/2014/lascene/lascene_c8g.htm#20140530084100 |
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avant | après |
SUITE du COMMENTAIRE (ci-dessus) EXAMEN du Les Rêves Cybernétiques de Norbert Wiener auteur Pierre Cassou-Noguès |
@ De: Emmanuel Herrscher à: William Theaux
<williamtheaux@gmail.com> Date: 5 juin 2014 20:24 qui poste l'info http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4848484 Vincent Le Corre a partagé un lien http://www.franceculture.fr/emission-la-marche-des-sciences-la-double-vie-de-norbert-wiener-le-pere-de-la-cybernetique-2014-05-1 Jean-Jacques Pinto http://www.seuil.com/livre-9782021090284.htm he..! |
20140606053500 http://www.amazon.fr/product-reviews/2021090280/ref=dp_top_cm_cr_acr_txt?ie=UTF8&showViewpoints=1 Titre: Le rêve et l'interprétation freudienne Par sa grande qualité, ce livre laisse transparaître ce qui lui manque. En réalisant le projet d'une interprétation du rêve (une scène de science-fiction imaginée par Norbert Wiener) il présente un exemple de psychanalyse. Les "grands" sont convoquée : Freud, puis Lacan qui aura initialisé sa propre carrière psychanalytique par un traité cybernétique. Cependant cet étayage, d'où le panorama des origines familiales du génie de Wiener est découvert, révèle l'omission d'un cas princeps de la psychanalyse qui partage ce même panorama (il s'agit du Président Schreber dont l'analyse par S.Freud observe la même éducation que celle qui fut imposée à Wiener, mais avec plus d'intensité, caricaturale et prototypique de la formation de la psychose paranoïaque selon la psychanalyse). Avec cette clé, ce livre devient une passionnante observation d'une omission, soit d'une clinique de l'auteur, soit beaucoup plus instructif, d'une clinique de la théorie psychanalytique sur laquelle il s'appuie. Le freudisme fournirait donc à la connaissance de la cybernétique un scotome de son propre motif, qu'on appelle "refoulement" - ou c'est la Cybernétique qui ne voudrait pas voir ce que le freudisme lui apporte. + JFB@Jean-Christophe Dardart où la précision est apportée dans l'évaluation de lecture publiée sur amazon |
url : http://www.akhnaton.net/2014/lascene/lascene_c8g.htm#20140606053500 |
2014110622105800 la chiralité | |||
J'annote ce jour au passage l'indic
par FB de la page sur la chiralité. Je la note en littérature grise
- http://www.akhnaton.net/2014/lascene/lascene_c8g.htm#20140606053500
- de la page sur l'eau lourde - qui est dite "science-fiction"
selon l'acceptation commune - traitant des cristallisations ici de la
mémoire et là de la chiralité. En d'autres termes l'astrophysique
observe la chiralité à travers l'irradiation de glace, et dans le roman
Lascène c'est la mémoire que l'on étudie à travers la cristallisation
de flocons de neige. On se souvient que l'astronome Képler soumis cette
cristallisation à l'étude de lois cosmiques et de la vie - la deuxième
idée exploitée par Lascène est l'étude similaire du fondateur de la
génétique (du moins du mot "génétique" - le père de
Grégory Bateson, l'écologiste). Nous avons donc un faisceau d'images
propres à être superposées et à s'accorder aux commentaires de la page
de futura-science. Saisissant par exemple le second commentaire, de Nico
qui termine par "on n'aura pas la réponse.." sinon dans le ciel
où ça ? Sur terre ? il l'aurait dit. Où alors aurons-nous donc la
réponse ? Peut-être dans le psychisme ; mais dans ce cas il faudrait
préciser ce que Képler aurait parfaitement entendu - pour lui le
psychisme avait une signification scientifique. De nos jours on peut
préciser par le moyen d'une référence : Séminaire du Jacques Lacan 22
octobre 1973. Là, avec la psychanalyse, on trouve la connexion du
psychisme avec la chiralité. Mais une différence difficile à trouver ou
à exploiter ne suffit pas ; il faut que je détaille un peu l'idée :
url : http://www.akhnaton.net/2014/lascene/lascene_c8g.htm#20140606053500 |
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