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part II - Gallerie |
Souvenirs de lecteur (du
Chap.1 au présent) : ...L'inventeur de
la Cybernétique (Neiwer) a disparu en laissant une formule et deux successeurs :
a) la scientifique (Nathalie/Donna) qui lui succède à la tête de son laboratoire et
b) l'éditeur (Stuart) qui s'est donné pour but de répandre la cybernétique par la
science-fiction ; mais son esprit est hanté par une autre pensée : la psychohistoire. |
Des pages et des
pages d'écriture passeront des jours et des jours sur des foules et des foules de lecteurs. Le succès d'Apimof n'a cessé de croître depuis
qu'il écrit sous
la férule de Stuart.
Les passionnés de Science-Fonction tressaillaient en percevant l'alibi de la
fiction ; les
autres soupirant au milieu très-souillant de la foi dans le placebo ; la masse était
encore l'objet de la propagande de Dernay, le proche parent de Fraude démasqué
par Donna. Mais elle réussirait. En s'en persuadant Stuart fumait
des
cigares. Hapi prenait des cachets ; ils sont tous deux dans un bureau plein de papiers et d'instruments collaboratifs, passant la journée à côté du secrétariat transformé en infirmerie.
Hapi vient tous les mois et chaque fois dit à l'éditeur : << Mais enfin qu'est-ce que c'est que cette histoire d'alibi à laquelle
personne ne comprend rien. Vous ne pourriez pas m'expliquer au lieu de me dire
ce que je dois dire !
Depuis l'aube Stuart a
encore réussi à lui changer deux chapitres sans qu'il sache pourquoi.
-- Vous écrivez la Psychohistoire, mon vieux >>
répond à chaque fois le patron d'À-ce-Tout-digne << l'alibi c'est le motif pour
lequel vous l'auriez fait ou pas >> et chaque fois
il répète << pour quoi croyez-vous que la science s'échine
? Si vous le savez, je serai heureux de l'apprendre. Sinon laissez la scienssure aux polis p'tit
chiens. Notre science fonction,
voyez-vous, n'est pas une assurance, mais nous sert à savoir au moins pourquoi
nous faisons ceci ou cela. Ce
n'est pas simplement la prédiction, savoir quel temps il fera demain, quand l'eau va
bouillir et si le gouvernement va tomber. Notre vraie science apprend aussi pourquoi vous avez décidé de faire cela hier
tant qu'aujourd'hui vous prépareriez demain ; ce n'est pas
l'après diction, elle fonctionne à l'avant diction. Par contraste, on
découvre que la propagande pourrit le hasard ; par opposition la psychohistoire compense que vous ne connaissiez pas les véritables
motifs de vos comportements. Sa science détecte l'alibi qui fait que vous ne vivez aujourd'hui que pour
une fiction.
-- Bof ! N'empêche que j'en ai marre, et ça, ce n'est pas une
fiction ! Voilà trois tomes d'avenir que je sème à Fond-de-Sillon et vous m'en demandez encore. Quand est-ce que vous publierez mes
Robots ?
-- Vos robots sont passifs au pire. Au mieux ils
enveloppent l'assez beau ; l'alibi est notre fond d'action.
-- Je proteste ! On ne me parle pas comme ça.
Ils passent généralement la journée
à se disputer, l'un à forcer, l'autre à résister. Aujourd'hui ils sont au bureau avec
un volume sur la propagande atomique pratiquement achevé.
-- J'ai reformulé le texte et
complété le tome. Toujours pour vous faire plaisir. Maintenant j'arrête. On passe à mes affaires.
-- Oui, j'ai lu vos préparatoires sur le
développement de l'État et le gouvernement de la galaxie >> reconnaît Stuart
en faisant l'indifférent << vous expliquez que pour accepter
l'effort de la science, il faut s'appuyer sur le besoin de religion qui asservit
les gens. Ainsi l'industrie atomique est une pilule qu'on avale parce que
la propagande suit les coutumes
persuasives des sacrements. C'est savoureux.>> Le rond de fumée qu'il souffle
prend la forme de sourire - une prouesse involontaire pendant qu'il observait Hapi
prendre un cachet.
-- Je vais même beaucoup plus loin
>> renchérit Hapi insensible au point critique mais l'orgueil piqué <<
j'ajoute la science et les mathématiques : l'élimination radicale en un instant
de centaines de milliers de civils imprime le point arithmétique du
zéro ; en cas de guerre c'est rendre la victoire infinie à l'aide d'un
zéro shématique posé sur une ville.
-- Tout ce que vous écrivez est savoureux >>
surenchérit Stuart qui souffle un champignon << votre talent
nous mène à un succès d'édition planétaire. Pourquoi vous arrêter en route?
-- Parce que ce n'est pas ma route !
La troisième pouffée forme un zéro qui tourne en rond
-- Détrompez-vous, c'est un chemin qui vous poursuit.
-- Qu'est-ce que ça veut dire encore ça ! "un chemin qui me
poursuit!" >> proteste Hapi en se saisissant d'un ventilateur.
Il est exaspéré. Mais la menace de la rivalité le prend de front
; estimant le moment propice à exploiter la faiblesse ApA de son adversaire, Stuart abat son As :
-- Ca veut dire qu'un auteur a frappé à la porte
d'À-ce-Tout-digne pas plus
tard que la semaine dernière >> rugit-il en le dessaisissant (du
ventilateur) <<
il apporte un manuscrit qui va vous remettre tout en
question : un texte explosif ; qui dévoile les plans de la bombe ! À-ce-Tout-digne
le publiera. Vos prêtres savants sont en périls car ils ne vont plus impressionner des masses si la formule du placebo
passe dans le domaine public >> et prouvant qu'il est dessaisi (du
secret) : << À moins qu'on sache que le saint sacré ment avec son secret de
fabrication !
À la place de l'auréole qui
planait au plafond, la bouche du fumeur a fait monter un nuage blanc, rond et
plat - pratiquement miraculeux dans ce domaine de la sculfure - qui fait forcément penser à
une hostie quand on invoque le saint sacré ; Hapi tu reste bouche bée...
Stuart a déjà évité de
révéler à Hapi qu'il était lui-même écrivain, à l'époque l'auteur de La Chose.
Pour la même raison il ne veut lui révéler que
c'est lui, Stuart, l'auteur de La Bombe. |
Les deux hommes regardent l'horloge
au mur en silence. Stuart compte les secondes qu'il tient Hapi coi. Hapi fouille
ses poches et vérifie l'horaire de son ticket retour. Il soupire en le
renfouissant.
-- Vous voulez dire que vous allez
rendre publics les plans de la
bombe !
-- Oui mon cher, pour démontrer que personne n'y verra que du feu.
-- Votre image est sinistre
-- Peut-être, mais elle épargne du reste
-- Qu'est-ce que ça veut dire encore ça ? >> s'énerve Hapi
-- Ca veut dire que ce qui restera après la bombe sera vivant dans la
mesure où elle aura été annoncée sans qu'on l'entende. Si la catastrophe
n'était pas annoncée nous aurions beaucoup moins de ressource une fois
celle-ci passée. Deuxièmement si l'annonce est entendue elle sera déniée par
les Artistotelliens >> et Stuart
lance un chaimtrail d'un trait barrant de
cigare fameux ( signifiant annonce
) << C'est le principe
20 de notre psychohistoire : nous
annonçons la catastrophe sans que personne n'y entende rien puisqu'on ne peut
jamais prédire le futur clairement. Mais dans la même mesure où nous l'aurons
bien dit, après l'inévitable catastrophe, la ressource inconsciemment
préparée n'en sera que plus vive
et vivace.
-- Il suffit de la tenir secrète et sue des
dirigeants >> objecte
l'écrivain << la publier pour que ça ne se sache
pas, c'est une stratégie compliquée et risquée.
-- Mais le secret scelle la crétinerie de l'homme
au pouvoir. Dans ce cas il ne peut faire que la bombe de plus belle.
-- C'est faux si vous raisonnez mathématiquement >>
redouble-t-il << D'une ou deux bombes vous avez
déjà divisé le conflit par zéro, et même les crétins succombent à l'amour
de l'infini.
-- Erreur >> quadruple l'éditeur <<
Vous oubliez que nous le savons
(que les crétins meurent d'amour) parce qu'ils ont prouvé (dans ce cas) que nous
n'en voulons rien savoir (ni de l'amour, ni de l'infini). Quasiment tous veulent être esclaves. On
peut le savoir, mais personne ne peut le faire savoir. Nous ne pouvons que le publier et pas
autrement que de la manière dont tout le monde veut le voir : comme une
fiction. C'est la raison pourquoi les prêtres ignorants de votre quatrième
tome vont avoir un travail fou !
-- Non ! J'ai dit que maintenant j'arrêtais ! C'est
vous qui allez remplir votre part du contrat. Vous
publierez mes Robots.
-- Non ! parce que le sillon que vous avez ouvert vous a
rattrapé. Les plans sont publics et vos curetons savants ne peuvent plus l'ignorer. J'achète votre manuscrit
et nous sommes certains qu'il va falloir écrire une suite.
-- Joe Care ! Joe Care !
Joe Care ! >> hurle Hapi entrant
en transe
À ces cris entre le soigneur. Joe.D.Care est
habitué des lieux et à ces séances ; il est engagé pour la journée entière,
se tenant prêt entre deux appels dans la pièce adjacente. Il
est rare qu'il ait le temps de s'occuper de la secrétaire comme le
mentionne le bonus client. Ce matin c'est sa troisième intervention presque
coup sur coup ; il dispose les serviettes, les inhalateurs et les
casques pompeurs en un ballet bien rôdé. Comme à son habitude Stuart
exige d'être allongé par terre. Hapi n'a pas ces exigences de dominant
trompeur et remonte dans l'étagère. |
L'intervention de Joe Care est suivie
de bons effets. La parole qui tournait en rond s'est dissipée.
Quelque mots codés et un rêve à la manivelle ; les
protagonistes peuvent à nouveau s'entendre. Le chiffreur s'en est retourné
dans la pièce à côté ; on y entend la machine à écrire.. s'arrêter. Hapi examine son manuscrit, il se demande ce qu'il
pourra changer. Stuart examine Hapi et se demande comment il fait pour écrire
comme ça.
-- Je déteste la religion >> commente
Hapi lorsqu'il révise à haute voix les passages où Stuart a lu la religiosité des
atomistes
-- Pourtant vos héros en font la meilleure défense
de la science >> s'étonne l'éditeur
-- C'est de manière cynique et politique que
ces prêtres s'en servent >> explique l'auteur << vous
n'avez pas compris ?
-- Ils s'en servent pour couvrir en secret les
activités de la science, ne faites pas de complexes, vous disiez vous-même que
c'est utile >> lui remonte Stuart les bretelles << mais
que des gens se servent de dieu pour faire des niches sans y croire, n'empêche
nullement qu'ils le produisent et donc ce dieu d'exister. Ça ne prouve donc pas qu'ils aient tort en
mentant. Vous pouvez faire semblant d'être une boulangère et pas moins en
être une, juste un peu schizo d'être dans le vrai. C'est proche de
l'âme moire et dans ce biais, les cybernéticiens on pu glisser le faux-semblant.
-- Ce qui peut être un moyen pire que le secret >>
décidément tout retourné
-- C'est pourquoi, si le secret ne convient pas -
c'est pire - et
si le placebo - zéro - ne satisfait pas mieux, c'est déchiffrer
l'alibi qu'il faut >> les bretelles de Stuart se tendant << Nous connaissons
le moyen mais nous n'avons pas la formule >> après le passage de
Care.. son corps réagit fort au souvenir de
Nathalie.
-- Vous pouvez m'expliquer ? >> demande
Hapi intrigué << je pourrai peut-être m'en servir
pour définitivement protéger la psychohistoire de l'alibi religieux.
-- Il s'agit de la surveillance quand
elle devient automatique, il n'y a plus moyen de garder longtemps un secret.
J'ai appris au MIToy qu'aucune armée n'espérait plus garder ses armes secrètes 27
.
Mais le placebo n'y résiste pas plus longtemps. Ça c'est la Nuke qui me l'a
appris - j'ai pu emporter les plans de la bombe. Car même une machine de hiéronymus
peut exploser. Il faut donc aller
jusqu'à l'alibi de la dématérialisation. Nous y allons par cette surveillance de la
surveillance qu'on appelle Cybernétique. Nous pouvons la surnommer " souveillance
"... nous n'obtenons pas pour autant sa formule.
Nous savons simplement que nous avons affaire à des nombres immenses de
particules semblables. C'est très différent de la statistique d'une variation
particulière d'un individu 30
.
-- Je reconnais parfaitement l'idée
de la psychohistoire que vous me demandez de transmettre hors secret à vos
lecteurs >> répond Hapi en cherchant un tour dans son sac <<
On
vous a fait comprendre au MIToy que les secrets s'éventant, on ne pourra rien
cacher aux peuples d'autant qu'on les surveillera pluss. C'est pourquoi Dernays
montre à la Maison Rose les fesses de la démocratie déculottée. Mais ensuite, comme tout le monde
regarde la propagande qui a un beau c.., vous mettez à la place du secret de Polichinelle, un placebo.
Vous faites une bombe atomique en papier mais vous vous plaignez alors - soit parce que
ça ne fait que réduire les risques, soit parce que ça présente autant de
risques. Est-ce que vous avez réalisé que votre
" psychohistoire " risque de coûter la peau des fesses si elle
révèle ce qu'on veut ?
-- Mon enquête n'a rien trouvé, mais elle m'a donné la réponse
>> répond Stuart, toujours méfiant d'être mal compris par Hapi quand il
parle simplement et s'expliquant << Je cherchais quelqu'un et j'en
trouvais un autre. Mais celui
que je trouvai était celui qu'effectivement je cherchais - et celui que je
cherchais était son alibi. Un professeur de math m'a expliqué que lorsque le
secret était mis au grand nombre - il écrit ça le nombre ' n ' - on le
trouvait dans un trou d' 'n' . Il l'écrivait avec un 'S' comme "Surveillance"
et ça faisait S°. Mais il ajoutait que ça se dédoublait - S°°.
J'ai voulu savoir
pourquoi c'était si compliqué et cette explication était trop abstraite. J'ai donc cherché Lomnœud
40 qui dénouait les jeux de stratégie entre
deux armées qui se cachent leur secret - je pensais qu'il donnerait un exemple
concret >> en reprenant son souffle Stuart rapporte : << Je
n'ai pas été déçu : Lomnoeud objectivait sa démonstration à l'observation d'Aristote des testicules de
dauphins ! Ça paraissait ridicule et inoffensif. Mais en les intégrant à celle des
anguilles qu'à l'instar observait Fraude, il avait éveillé des soupçons chez les militaires qui, eux, l'avaient
caché, lui : ils l'ont isolé dans une chambre où il
mourut sans avoir jamais plus pu parler. Je ne l'ai donc jamais trouvé bien sûr, mais la surveillance
de la surveillance avait produit ce phénomène d'interférence qui m'a conduit à
l'autre. L'autre non plus, je ne l'ai jamais retrouvé, parce que lui, je l'avais
perdu. C'était complètement déroutant mais c'était bien expliqué.
-- Je ne crois pas un mot de ce que vous dites ! Un
secret militaire ça n'existe pas, sinon ça ne serait pas un secret. Qui cherchiez-vous
?
-- L'autre qui avait inventé cette mathématique de la surveillance, qu'il appelait
Cybernétique, qui s'appelle Neiwer
-- Mais il ne se cache pas votre Neiwer ! Il réside
dans le Dûr à Putin, la meilleure place pour étudier les
robots ; je le sais parfaitement.
-- J'en doute >> interjecte Stuart
brusquement << c'était un homme proche de la nullation mythique ; la
propagande du Dûr est bien trop primitive
-- Et pourtant il m'a adressé de là-bas des compliments
pour mon oeuvre, en m'envoyant un carnet comme présent - il m'a dit que ça me rappellerait
les cigares de Fraude. Je ne fume pas et je n'ai rien compris.
Je n'ai pas
réussi non plus à ouvrir son calepin, mais de son nom, de son adresse d'envoi et de ses éloges je suis certain.
L'éditeur est saisi d'une brusque
panique ; il pense un moment appeler Joe Care.
Sa pompe sanguine palpite comme un grenouille devant une autre ; il vient peut-être
de retrouver Neiwer ! Mais Hapi semble en pleine forme. Se moquerait-il de lui ?
Il affronte l'impression paranoïaque que Neiwer lui a fait signe qu'il
(Neiwer) avait découvert qu'il (Stuart) le cherchait par Lomnœud. Il s'était mal
remis du fait que Donna ait retrouvé Neiwer sans lui dire, comme Lomnœud qui
parlait avec les dauphins. Il se rend compte que si Hapi lui fait cet effet, il doit mettre fin à la journée de
travail. Il le congédie, renvoie aussi Joe Care, et fait venir la secrétaire.
Elle ressemble à Donna qui s'est éloignée
quand l'À-ce-Tout-digne a commencé la Fond-de-Sillon ; ils ne
parlaient plus de Neiwer ni même plus de psychohistoire - elle se détachait du
labo comme si elle avait épuisé son horizon, et ses fenêtres. La Cybernétique
semblait faire place à d'anciennes mystiques. Donna
pensait à la réincarnation. Quand elle disparut totalement Stuart engagea
naïvement une secrétaire qui lui ressemblait. Mais elle ne revenait pas.
C'étaient d'autres personnages qui certainement venaient à sa place, des Mary,
des Ada, des Jane 90 .
Elle s'appelait Joël - elle était certainement la maîtresse de Joe ; Stuart
la psychanalysait en cherchant comment doubler Dernays.
notes
08 : L'assertion de fonction anticipée - d'un degré supérieur à l'assertion de certitude anticipée de Lapan - est une indication de la Science Fiction littéraire initialisée par Villiers de l'Isle-Adam quand il fait dire au héros constructeur, en réponse à l'usager « soyez sans inquiétude pour moi, prenez la machine, j'ai la formule »
10 : conférence
12 : L'épisode de la diffusion des plans de la bombe américaine par Astounding Science Fiction et J.Campbel est historique/authentique.
20 : Dans le cycle FONDATION d'I.Asimov le mathématicien Seldon applique le principe de la psychohistoire dans le but de réduire la durée d'une inévitable période de chaos suivant la fin du cycle d'une période de civilisation - d'autant plus courte est-elle que cette réduction permet une reprise avantageuse du cycle suivant.
30 : Dédicace de Wiener à Gibbs in Human Use of Human Being
40 : Von Neuman
90 : Ce sont les filles (de relations mère-fille frappées d'une constante déterminantes) primordiales à la formation cyborg : Mary Shelley (auteur de Frankenstein / fille de Mary dcd post-couches) Ada Lovelace (analyste Machine Babbage / fille anti-Lord.Byron par sa mère ) Jane (soeur jumelle de P.K.Dick dcd à 40jours affamée par sa mère pour alimenter son frère) . Ces piliers de la génération cyborg réclament leur formation psychologique suivant la pensée logique développée par P.Cassou 27 .
20140620002100
annoncé sur
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Enregistrement vidéo du commentaire / DWT sur Lascène.Chap.10
index chronographique :
00:00:00 : 03:07:16 Azimov/Hapi & Campbell/Stuart 03:35:17 Défense de Hapi (religion & science) 07:43:00 Défense de Stuart (histoire & science) 15:00:00 Campbell/Stuart & le Non-Aristotellicisme 22:01:12 La bombe de papier de Stuart 26:37:13 Le zéro gravé de Hapi 35:29:06 Psychosociologie Cybernétique 40:20:19 Automatisme, variété de machines |
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